blague langage

Le chien parlant

Un gars aperçoit une pancarte à l’extérieur d’une maison qui dit : « Chien qui parle à vendre ». Intrigué, il entre.
– Alors qu’as-tu fait de ta vie ? demande-t-il au chien.
– J’ai mené une vie bien remplie, explique le chien. J’ai vécu dans les Alpes pour secourir des victimes d’avalanche. Ensuite, j’ai servi mon pays en Irak. Et maintenant, je passe mes journées à lire aux résidents d’une maison de retraite.

Le gars est sidéré. Il demande au propriétaire du chien :
– Pourquoi diable voudriez-vous vous débarrasser d’un chien incroyable comme ça ?
– Parce que c’est un menteur ! Il n’a jamais rien fait de tout ça !

Mots privatisés… privés de mots !

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Mots privatisés… privés de mots !

Après tout, Canal+ s’est bien approprié le mot « planète »…
Manifestants : « Liberté et Démocratie en République ! »
Huissier : « Bonjour messieurs, je suis avocat et je vous informe que les mots « Liberté », « Démocratie » et « République » sont des marques déposées par LREM. »
(Dessin du 30 novembre 2020)

Quelques bizarreries de la langue française

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Nous portions les portions.

Les poules du couvent couvent.

Mes fils ont cassé mes fils.

Il est à l’est.

Je vis ces vis.

Cet homme est fier. Peut-on s’y fier ?

Avant, nous éditions de belles éditions.

Je suis content qu’ils content ces histoires.

II convient qu’ils convient leurs amis.

Ils ont un caractère violent : ils violent leurs promesses.

Nos intentions sont que nous intentions ce procès.

Ils négligent leurs devoirs, je suis moins négligent qu’eux.

Ils résident à Paris chez le résident d’une nation étrangère.

Les cuisiniers excellent à faire ce mets excellent.

Les poissons affluent à un affluent.

La complainte du légume

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Quand t’as plus un radis, plus de beurre à mettre dans les épinards, ni de piment dans ta vie, tu te dis que les carottes sont cuites, que c’est la fin des haricots, tu te prends le chou pour un rien, t’as du sang de navet, et la tête comme une citrouille, tu ne te mêles même plus de tes oignons, bref t’en as gros sur la patate ; t’es tout juste bon à bouffer les pissenlits par la racine. Je ne vous raconte pas de salades ! J’ai beau avoir un petit pois dans le ciboulot et un cœur d’artichaut, je ne suis pas né de la dernière pluie. Alors plutôt que de faire le poireau comme un cornichon, je préfère appuyer sur le champignon. Quoi ? Je n’fais pas l’poids ? Chiche ?