blague jungle

Le syndrome de l’escargot

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Un escargot se promène dans la jungle. Il croise un éléphant.
– Bonjour M’sieur l’éléphant.
– Bonjour Chef, lui répond l’éléphant.

Un peu surpris, l’escargot poursuit son chemin pensant avoir mal compris, puis il rencontre une girafe.
– Bonjour Madame la girafe.
– Bonjour Chef, lui répond la girafe.

Là, l’escargot s’interroge : « Mais pourquoi m’appellent-ils tous chef ? On va en avoir le cœur net ».

Il passe l’air de rien devant le Lion, le roi des animaux et lui lance :
– Bonjour M’sieur le lion.
– Bonjour Chef, lui répond le lion.

Alors humblement, l’escargot interroge le lion :
– Dites-moi, pourquoi m’appelez-vous tous chef ?

Et le lion lui répond :
– Ben, tu baves, tu rampes et t’as pas de couilles !

Un homme à poigne

dessin humoristique de la jungle gouvernementale à l'Élysée
26 septembre 2016 – Un homme à poigne

Hollande évacue la Jungle de Calais.
François Hollande : « … et celle de l’Élysée en mai prochain. »
(Caricature François Hollande – Dessin du 26 septembre 2016)

La blague des dangers de la jungle birmane

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En Birmanie, un colonel donne les derniers conseils à ses G.I. avant que ceux-ci partent au combat :
« G.I.’s ! Je suis fier de vous, vous allez au combat. Mais avant que vous ne partiez, je vais vous donner les trois grands secrets pour survivre aux trois grands dangers de la jungle :

Le premier danger, ce sont les moustiques : ils apportent les piqûres qui font souffrir, mais surtout la malaria qui peut tuer les plus résistants. Contre les moustiques, vous avez la bombe de fly-tox : vous prenez la bombe et vous vaporisez ; si la bombe est finie, vous en avez une de rechange dans la poche droite, vous vaporisez jusqu’à ce que les moustiques soient tous morts et vous survivrez aux moustiques.

Le deuxième danger, ce sont les niakwés. Ce sont de farouches combattants fanatiques et bien armés. Contre les niakwés, vous avez le pistolet-mitrailleur : vous prenez le pistolet-mitrailleur et vous mettez le chargeur, puis vous tirez sur les niakwés ; si le chargeur est fini, vous en avez un de rechange dans la poche gauche, vous tirez jusqu’à ce que tous les niakwés soient morts et vous survivrez aux niakwés.

Le troisième danger, le pire, c’est le terrible serpent mamba rayé orange et noir. Sa morsure est mortelle en moins de trente secondes. Contre le terrible serpent mamba rayé orange et noir, vous n’avez que votre courage et la tactique que je vais vous donner :
Si vous voyez un terrible serpent mamba rayé orange et noir, vous faites le tour, vous en prenez le bout de la queue entre le pouce et l’index, sans serrer, et vous remontez doucement le long de la colonne vertébrale jusqu’à ce que vous puissiez serrer le cou juste derrière la tête. Alors vous le prenez, et vous lui tordez le cou, et c’est ainsi que vous survivrez au terrible serpent mamba rayé orange et noir.

Voilà G.I.’s, vous êtes prêts à partir… Bonne chance ! »

Un mois après, les G.I.’s rentrent de leur mission. Le colonel est là et interroge les soldats :
« Ahh, colonel, c’était terrible… Les moustiques, des nuées de moustiques… Mais j’ai fait comme vous nous avez conseillé : j’ai pris le fly-tox, j’ai vaporisé, j’ai tué des milliers de moustiques. Ma bombe s’est vidée, j’ai pris la bombe de rechange dans la poche droite, et j’ai continué à vaporiser. La deuxième bombe s’est vidée, et il y avait encore des moustiques, alors j’ai pris la bombe sur le cadavre de mon copain qui était tombé à coté de moi, et j’ai continué à vaporiser… Au moment où la bombe finissait, j’ai tué le dernier moustique qui est tombé raide mort. J’étais sauvé. »

Un deuxième soldat :
« Ahh, colonel, c’était terrible… Les niakwés, des nuées de niakwés… Mais j’ai fait comme vous nous avez conseillé : j’ai pris le pistolet-mitrailleur j’ai tiré, j’ai tué des dizaines de niakwés. Mon chargeur s’est vidé, j’ai pris le chargeur de rechange dans la poche gauche, et j’ai continué à tirer. Le deuxième chargeur s’est vidé, et il y avait encore des niakwés, alors j’ai pris le chargeur sur le cadavre de mon copain qui était tombé à coté de moi, et j’ai continué à tirer… Au moment où le chargeur finissait, j’ai tué le dernier niakwé qui est tombé raide mort. J’étais sauvé. »

Alors le colonel voit arriver un G.I. sur une civière; il est complètement explosé, lacéré, en sang, au bord de l’inconscience.
– Mais, G.I., que s’est-il passé ? Les niakwés ?
– Oh non, colonel, c’est le terrible serpent mamba rayé orange et noir !
– Mais je vous avais pourtant dit comment procéder !
– Oui, mon colonel, et j’ai fait comme vous l’aviez dit ! J’ai vu le terrible serpent mamba rayé orange et noir, j’ai fait le tour, j’en ai pris le bout de la queue entre le pouce et l’index, sans serrer, et j’ai remonté doucement le long de la colonne vertébrale jusqu’à ce que je puisse serrer le cou juste derrière la tête. Mais alors là, sauf votre respect, colonel, mais j’aurais bien voulu vous y voir, vous, avec deux doigts dans le trou du cul d’un tigre !

Le vieil explorateur qui raconte une histoire

Un vieil explorateur est convié à une soirée chez la comtesse de Mormoilneux. Après le dîner, celle-ci lui demande de raconter une de ses expéditions. Le vieux commence (voix chevrotante) :
– Je marchais au milieu de la jungle avec mes dix porteurs depuis plusieurs jours. Tout à coup, les oiseaux et les singes se sont tus, il s’est fait un grand silence, et nous avons entendu un rugissement tout près de nous !

L’assistance, captivée :
– Oooh ! et alors ?
– Alors, nous nous sommes arrêtés. Nous avons alors vu les buissons s’écarter, dix mètres devant, et un ENORRME lion en surgir, l’air affamé.
– Oooh ! et alors ?
– Alors il nous a regardés, et s’est léché les babines ! A ce moment, tous mes porteurs se sont enfuis en courant, me laissant sans aide et sans guide, seul face au fauve !
– Aaah ! et alors ?
– Alors, j’avais heureusement gardé mon fusil avec moi. Je l’ai épaulé, j’ai visé le lion… et mon fusil s’est enrayé !
– Aaah ! et alors ?
– Alors, j’ai dégainé mon revolver, et j’ai tiré en direction du lion ! Mais ce putain de revolver s’est lui aussi enrayé !
– Oooh ! et alors ?
– Alors, je n’ai plus eu d’autre choix que de sortir mon Opinel, et de me préparer à un corps à corps avec le lion ! Celui-ci s’est alors avancé vers moi en grondant, et il s’est arrêté à deux mètres, et il a poussé un énorme rugissement, comme ça (et le vieux imite le rugissement) : « RRRAAAAOOOUHUMMMMMFFFF ! »
– HIIII ! ET ALORS ?
– Ben, fait le vieux, penaud, je crois que j’ai chié dans mon froc !

Un silence gêné s’établit. Fort civile, la maîtresse de maison tente de rattraper le coup :
– Hum, eh bien, après tout, compte tenu des circonstances extrêmes, n’est ce pas, c’était peut être compréhensible que vous vous laissiez aller, non ?
– Non, non, explique le vieux, c’est maintenant, là, en faisant « RRRAAAAOOOUHUMMMMMFFFF ! », que j’ai chié dans mon froc.

L’éléphant et le nid de souris

Un éléphant marche dans la jungle et renverse un nid de souris.

Celles-ci, furieuses, lui courent après, montent sur son dos et essayent de le mordre. Sentant une vague démangeaison, l’éléphant donnent quelques coups avec ses oreilles et toutes les souris tombent par terre, sauf une à cheval sur son cou, les quatre pattes écartées.

Et les autres crient :
« Vas-y, étrangle-le ! »