blague juifs

Les frigos du bon juif

Après une dizaine d’années sans se voir, Simon retrouve Samuel son copain d’enfance. Il est invité à manger, et Samuel lui fait la visite guidée de la maison.

Arrivés dans la cuisine, Simon ne peut s’empêcher de remarquer les trois réfrigérateurs qui encombrent la moitié de la pièce :
– Dis-moi Samuel, pourquoi as-tu 3 frigos dans ta cuisine ?
– Eh tu sais, c’est parce que je suis un bon juif, voilà tout !
– Comment ça ?
– Eh bien le premier frigo, c’est pour les laitages, le deuxième pour la viande…
– Et le troisième alors ?
– Tu sais, de temps en temps j’ai envie d’une bonne côte de porc ou d’un pied de cochon…

Le syrien de Damas et l’israélien de Jérusalem

Un Syrien de Damas discute avec un israélien de Jérusalem.
– Nous avons fait des fouilles dans les sous-sol de Damas, là où vivaient nos ancêtres. Et tu sais ce que nous avons trouvé ?
– Non ?
– Nous avons trouvé des câbles électriques !
– Et alors ?
– Eh bien, ça prouve que nos ancêtres avaient inventé le téléphone.
– Eh bien nous, nous avons fait des fouilles dans Jérusalem. Et tu sais ce que nous avons trouvé ?
– Non ?
– On n’a rien trouvé.
– Eh alors, qu’est-ce que ça prouve ?
– Eh bien, que nos ancêtres avaient inventé le téléphone sans fil.

La prière du naufragé

C’est un bateau qui fait naufrage… lentement mais sûrement.

Le capitaine réunit tout l’équipage, et dit :
– Les gars… c’est foutu ! On est perdu ! Le radar et la radio sont en panne. Prions Dieu pour qu’Il nous reçoive au moins avec indulgence au Paradis.

Tout le monde est bouleversé et se met à genou pour prier… excepté un matelot qui est resté debout.
– Et toi ! lui dit le capitaine. Tu ne peux pas faire comme tout le monde et prier ?
– Non, moi, j’suis juif.
– C’est pas une raison ! La situation est suffisamment critique comme ça. Alors il y a plus de religion qui compte ! Tu devrais au moins faire un geste catholique, mon pauvre Isaac !

Alors Isaac enlève son béret et fait la quête…

Où va l’argent de la quête ?

Un prêtre catholique, un pasteur protestant et un rabbin juif discutent pour savoir lequel consacre le plus d’argent pour l’adoration de Dieu.
– Moi, dit le prêtre, c’est facile. Je trace une ligne par terre et je me place dans son prolongement. Puis je prends tout ce que le denier du culte m’a rapporté et je le lance en l’air. Ce qui retombe à droite de la ligne est pour moi, c’est qui est à gauche sera consacré à Dieu.
– Ma méthode, rétorque le pasteur, est presque semblable à la vôtre. Je me place au centre d’un cercle tracé par terre et j’envoie tout en l’air. Ce qui reste dans le cercle est à moi, en dehors, c’est pour Dieu.
– Vous n’êtes pas très généreux, dit le Rabbin. Incontestablement, je consacre plus d’argent que vous pour adorer Dieu. Moi, j’envoie tout en l’air, ce que Dieu veut, il le prend, ce qui retombe est à moi !