blague juges

François de Corrèze

dessin drôle de François Hollande aux toilettes
23 octobre 2016 – François de Corrèze

« Ce qui compte, c’est ce que je fais, pas ce que je dis. » François de Corrèze.
Nouvelle dialectique présidentielle : excrétion / contrition.
François Hollande : « Petit coin, tout comme les magistrats et les footballeurs, pardonne-moi ce que je viens de te balancer dans la tronche. »
(Caricature François Hollande – Dessin du 23 octobre 2016)

Les experts, les avocats et les juges

Les experts sont des gens qui en connaissent énormément sur très peu de choses, et continuent à en apprendre de plus en plus sur de moins en moins de choses.

Les avocats sont des gens qui en savent très peu sur beaucoup de choses, et continuent à en apprendre de moins en moins sur de plus en plus de choses, jusqu’au moment où ils savent pratiquement rien sur à peu près tout.

Les juges sont des gens qui, au départ, savent à peu près tout sur presque toutes les choses, mais en raison de leur promiscuité avec les avocats et les experts, ils finissent par ne plus rien savoir sur rien.

Pourquoi avoir frappé sa belle-mère

– Qu’est-ce qui vous a pris, demande le juge à un petit gringalet, de frapper votre belle-mère qui en fait trois comme vous ?
– Eh bien, répond-il, nous étions tous deux dans la cuisine, elle me tournait le dos ; elle était penchée pour allumer le gaz ; enfin, la porte de derrière était ouverte, pour me permettre une retraite rapide. En toute franchise, monsieur le juge, à ma place, vous auriez été capable de résister ?

La narcolepsie et la justice

Avant de constituer un jury d’assises, le président demande aux personnes désignées par le sort si elles ne présentent aucune affection, susceptible de les empêcher d’accomplir leur tâche.
– Moi, répond un homme, je souffre de narcolepsie. Je crains de ne pas pouvoir me retenir de dormir pendant les audiences.
– C’est effectivement fort ennuyeux pour un juré, répond le magistrat. En revanche, ce mal est très répandu parmi les juges et je peux vous assurer que cela n’a jamais nuit à la bonne administration de la justice.