blague jouissance
La blague de la souris qui baise une éléphante
Dans la jungle. Une souris mâle regarde une femelle éléphant avec des yeux de braises… Deux singes passent par là et observent la scène.
L’un deux s’adresse à la souris :
– Elle t excite ?
La souris :
– Ho ben ouais alors…
L’autre singe :
– Si tu veux on t’arrange le coup…
– C’est vrai ?! Waow ! Le rêve !
– Accroche-toi à moi : je t’envoie sur son dos, tu n’auras qu’à descendre le long de sa queue, et tu pourras la pénétrer en faisant du rappel.
– Génial, les mecs, sympa !
L’opération se déroule comme prévu. La souris mâle est face à ce sexe qui fait trois fois sa taille. Il sort son sexe minuscule et se met à faire « l’amour » au pachyderme, impassible. Les singes montent en haut d’un cocotier et balancent sur la tête de la femelle éléphant d’énormes noix …
Alors l’éléphante lève la tête et se met à gueuler sur les singes, qui continuent. Et la petite souris mâle au bord de la délivrance crie :
« Alors tu jouis, salope ! »
La blague de la montée au ciel de Toto
En classe de catéchisme, Monsieur le curé demandait à ses élèves comment ils croyaient que les gens allaient au ciel.
Toto leva immédiatement la main, voulant répondre. Croyant qu’il allait encore dire une stupidité comme d’habitude, Monsieur le curé fit semblant de ne pas le voir et demanda plutôt à Sophie.
– Hummm… Moi, Monsieur le curé, je crois qu’un ange vient chercher notre âme et qu’il l’amène jusqu’au paradis.
Toto continuait de lever la main et insistait en disant: « Moi Monsieur le curé ! » continuellement. Le curé continua de l’ignorer et demanda à Pierre ce qu’il en pensait :
– Moi, Monsieur le curé, je crois qu’il y a une porte d’ascenseur qui s’ouvre devant nous. Nous y entrons et ainsi, nous pouvons monter jusqu’au ciel.
Toto insistait encore pour répondre, et le curé finit par lui dire :
– Oui, Toto, comment crois-tu que les gens vont au ciel ?
– Les pieds en premier Monsieur le curé !, répondit fièrement Toto.
– Mais que veux-tu dire exactement par là Toto ?
– Et bien hier soir, j’ai été dans la chambre de mes parents. Ma mère était couchée sur le dos, les jambes dans les airs pointant le ciel et elle criait : « Oh mon Dieu… Je viens… »