blague infarctus

Le cocu cardiaque

Le mari arrive chez lui complètement bouleversé :
– Tu te rends compte, chérie, mon patron est revenu chez lui, il a trouvé sa femme avec un homme et d’un coup, il est tombé raide mort… J’espère que ça ne m’arrivera jamais !
– Mais non, tu sais bien que tu n’es pas cardiaque !

Crise cardiaque de couple

Un mec, une nana :
– Chérie, je fais une crise cardiaque, appelle une ambulance !
– J’ai plus de batterie, c’est quoi le mot de passe de ton portable ?
– Heu… Non, c’est bon, ça va déjà mieux…

La chance de l’Écossais

Deux Écossais bavardent en attendant l’autobus :
– Décidément, fait l’un, ce Mac Intosh est un sacré veinard ! Tout ce qu’il touche se transforme en or. L’année dernière, il contracte une assurance-vie : huit jours après, il se casse la jambe ! Il y a six mois, il prend une assurance-incendie : quatre jours plus tard, sa maison brûle ! Avant-hier, il prend une assurance vie… Et hop ! Ce matin, il meurt d’un infarctus !

La blague du grand B

Saint Pierre est de permanence à l’entrée du Paradis lorsque plusieurs personnes se présentent.

Le saint se renseigne :
– Bonjour mon enfant. De quoi es-tu mort ?
– Je suis mort du grand « C ».
– Le grand « C » ? Qu’est-ce que c’est que ça ?
– C’est ce satané Cancer qui m’a bouffé.
– D’accord. Pauvre homme, entre : je t’ouvre les portes du Paradis.

Puis il s’adresse à un deuxième homme :
– Et toi mon enfant, de quoi es-tu mort ?
– Je suis mort du grand « I ».
– le grand « I » ? Qu’est-ce donc ?
– C’est l’Infarctus, Saint Pierre ; j’étais en train de jouer avec mes gosses lorsque mon cœur a lâché, et me voilà !
– C’est d’accord mon enfant ; entre, car je t’ouvre les portes du Paradis.

La troisième personne à se présenter devant saint Pierre est une femme :
– Et toi mon enfant, de quoi es-tu morte ?
– Moi je suis morte du grand « B », répond la femme.
– Ça commence à bien faire toutes ces initiales. Bon, alors, qu’est-ce que c’est que le grand « B » ?
– Le grand « B », c’est la blennorragie !
– La blennorragie, le grand « B » ? Tu te fous de moi ?! Ça fait longtemps qu’on ne meurt plus de la blennorragie !
– Ah mais si, si tu la repasses à ton mari…