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Les embarras gastriques et les suppositoires

C’est une dame un peu distraite qui a quelques problèmes de santé. On pourrait appeler ça des embarras gastriques. Elle va voir le docteur qui lui prescrit des suppositoires. Elle achète sa boîte de suppositoires et le soir, en rentrant chez elle, elle les pose sur la commode. Manque de bol, son mari a déjà posé sur la même commode une boîte contenant des pierres à briquet. Et au moment de se coucher, la dame se trompe de boîte. Quinze jours après, elle retourne chez le docteur qui lui demande :
– Et alors, mon traitement vous fait de l’effet, ça va mieux ?
– Non, ça ne va pas tellement mieux et il y a un truc que je ne comprends pas, docteur.
– Quoi donc, madame ?
– Eh bien voilà, chaque fois que je pète, ma robe prend feu.

C’est la maison qui a brûlé

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– Maman, c’est vrai que la maison a brûlé ?
– Oui, mon chéri.
– Maman, c’est vrai que grand-mère a brûlé avec la maison ?
– Oui, mon chéri.
– Maman, pourquoi ça sent le caramel ?
– Mon chéri, tu sais bien que grand-mère avait du diabète.

Les moteurs de l’avion sont en feu

Pendant un vol transcontinental, un passager proche d’un hublot s’aperçoit que deux des moteurs de l’avion sont en feu. Il commence à crier « LES MOTEURS SONT EN FEU » et rapidement la panique gagne tous les passagers.

À ce moment-là, le pilote apparaît dans le compartiment passagers avec un parachute attaché sur son dos et dit :
– Ne vous en faites pas, je m’en vais chercher du secours !

Le cochon le plus intelligent du monde

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C’est dans le Périgord noir. Un pauvre paysan crève la faim avec toute sa famille, mais il a un trésor ! Et ce trésor, c’est son cochon. D’après lui, ce cochon est « le cochon le plus intelligent du monde »…

Un beau jour, un journaliste du quotidien local vient à apprendre qu’un cochon plus intelligent que la moyenne vit dans une ferme du voisinage. Le journaliste prend sa voiture et va se rendre compte sur place de lui même.

Lorsqu’il arrive dans la ferme, il voit les bâtiments en ruine, et se demande comment à notre époque on peut encore vivre comme ça… Puis le paysan sort de la baraque. Alors le journaliste lui demande :
– Bonjour ! Je suis journaliste au « Périgourdin On-line » et j’ai appris que vous possédiez un cochon extraordinaire.

Le pauvre paysan lui répond « c’est vrai ». Puis il siffle un coup entre ses dents, et un cochon qui n’a plus que trois pattes sort de l’étable. « C’est lui » dit le paysan.

Le journaliste voit le cochon et demande :
– Et qu’est-ce qui vous fait dire qu’il est le cochon le plus intelligent du monde ?

Le paysan répond :
– L’hiver dernier, j’étais dehors en train de réparer des clôtures et ma femme était en ville pour vendre du fromage. Notre petit bébé était à l’étage dans la maison en train de dormir dans son berceau…. lorsqu’un incendie a enflammé la maison (ma femme avait laissé son fer à repasser sur le linge). A ce moment là, le cochon a couru dans la maison, monté l’escalier, il a attrapé le bébé en prenant son bras dans sa mâchoire sans lui faire mal, puis il est redescendu et a déposé le bébé sur le sol à l’abri des flammes. Ensuite il est parti me chercher dans le pré et j’ai pu éteindre l’incendie avant qu’il n’y ait trop de dégâts.
– Wow, dit le journaliste, c’est incroyable.
– Et ce n’est pas tout ! Un jour que je travaillais la terre dans le champ d’à côté, la herse était bourrée avec de la terre et de l’herbe. Alors je met le tracteur au point mort, je descend et je commence à nettoyer sous la herse. Mais la vitesse s’est enclenchée toute seule et je me suis trouvé renversé par la herse et entraîné par l’attelage. J’ai cru que j’étais un homme mort… mais le cochon avait du sentir qu’il se passait quelque chose : Il est allé chercher une corde, a rattrapé le tracteur et la herse, m’a laissé un bout de corde, et a tiré de toutes ses forces à l’autre bout. C’est grâce à lui si je suis encore là aujourd’hui.
– C’est vraiment extraordinaire, lui répond le journaliste. Mais dites-moi, comment se fait-il qu’il n’ait plus que trois pattes ?
– Ben, quand on a un cochon aussi bon et intelligent, on ne peut pas le manger tout d’un coup.