blague homos

La blague du vol de nuit

Deux homos sont dans un avion pendant un vol de nuit. Le premier dit à son ami :
– Tu me fais un petit câlin ?
– Tu es fou, on va nous entendre…

L’autre se redresse et demande :
– Quelqu’un a du feu ?

Il se rassoit et fait à son ami :
– Pas de réponse… Tu vois, tout le monde dort. Allez, fais-moi un petit câlin…
– Non, je te dis que l’on va nous entendre…

Alors l’autre recommence :
– Quelqu’un a du feu ?

Pas un bruit dans l’avion… Du coup, les gars s’enfouraillent toute la nuit.

Le lendemain matin, à l’arrivée de l’escale, le steward est sur la passerelle pour dire au revoir aux passagers, quand arrive un monsieur, les yeux exorbités, la joue enflée toute mauve, des cernes… Le steward lui demande :
– Ça n’a pas l’air d’aller très fort ?
– M’en parlez pas j’ai une rage de dents terrible, je n’ai pas fermé l’œil de la nuit…
– Mais il fallait nous appeler ! Nous sommes là pour ça… Je vous aurais donné un calmant…
– Je n’ai pas osé… Il y a un mec qui a demandé deux fois du feu, il s’est fait enculer toute la nuit…

La mort des trois amis gays

Trois amis gays viennent de mourir dans un accident et vont être incinérés. Leurs partenaires respectifs se retrouvent ensemble au crématorium et discutent de ce qu’ils vont faire des cendres de leurs défunts.

Le premier dit :
– Mon Jacky, c’était un passionné de parachutisme. Je crois que je vais répandre ses cendres depuis un avion.

Le deuxième dit :
– Mon Kévin adorait la pêche à l’espadon. Je crois que je vais aller répandre ses cendres en mer dans un de ses coins de pêche favoris.

Le troisième dit :
– Mon Tony était vraiment un amant exceptionnel. Je crois que je vais répandre ses cendres dans un plat de chili pour qu’il puisse me ramoner le cul une dernière fois !

L’Adonis des deux gays

Deux gays font un peu de lèche-vitrines lorsque l’un des deux remarque un bel Adonis de l’autre côté de la rue.
– Regarde ce mec là-bas ! Dit-il à son pote, je ne sais pas ce que je donnerais pour me le taper…

Alors son copain lui répond :
– Eh bien moi, je me le suis déjà fait, nananère ! Et je peux te dire que c’était le meilleur coup que j’ai jamais eu !

Le premier :
– Non, merde ?

L’autre :
– Bof non, juste un peu…