blague Hitler

Ben Laden en enfer

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C’est l’histoire de Ben Laden qui arrive en Enfer. Tout de suite après être entré, il aperçoit deux personnes en grande discussion et qu’il reconnaît tout de suite. Ce sont Hitler et Staline.

Ben Laden s’approche :
« Bonjour, je suis Ben Laden ».
Ils continuent à discuter comme si de rien n’était.

« J’ai été le grand terroriste international du début du 21ème siècle. »
Ils continuent à discuter de plus belle.

« Avant de mourir, j’étais le pire ennemi des Américains et des Juifs. »
Les deux s’arrêtent et se retournent.

« Le pire ennemi des Juifs, hmm », fait Hitler.
« Le pire ennemi des Américains, hmm », fait Staline.

Ben Laden qui voit qu’il les intéresse enfin dit encore :
« À une époque, j’avais des milliers de gens à mes ordres qui étaient prêts à se sacrifier pour moi. Pour mieux les convaincre, je leur avais même dit que s’ils mourraient en martyrs, ils iraient droit au paradis où ils seraient accueillis par des dizaines de jeunes vierges. »

Hitler dit :
« Moi, j’avais des millions d’hommes qui étaient prêts à mourir sur un mot de moi, et je ne leur avais rien promis en échange. »

Staline dit :
« Moi aussi, des millions de gens sont même morts en me remerciant, et je ne leur avais rien promis non plus. »

Ben Laden continue :
« J’ai quand même fait tuer 3000 américains en moins de deux heures à New York et Washington. En plus, j’ai failli faire tomber un avion sur une centrale nucléaire, ce qui aurait tué au moins plusieurs dizaines de milliers de personnes supplémentaires et contaminé la région de Washington pendant plusieurs dizaines d’années. »

Hitler n’a pas l’air convaincu :
« Moi, en 5 ans, j’ai fait tuer 6 millions de juifs, des centaines de milliers d’homosexuels et de tziganes. »

Staline continue :
« Moi, en 30 ans, j’ai fait tuer 20 millions de personnes, j’ai aussi fait irradier une bonne partie de la Sibérie avec des essais atomiques sur des zones habitées. »

Ben Laden essaie de continuer :
« Quand même, pendant plusieurs mois, j’ai été l’ennemi public numéro un du monde entier ! »

Hitler répond :
« Petit, moi j’ai été l’ennemi du reste de la planète pendant 5 ans. J’ai même failli être maître du monde. »

Staline dit :
« Moi, pendant 10 ans, j’ai été maître absolu du monde communiste, soit un tiers de la population mondiale. »

Ben Laden fond en larmes :
« Moi aussi je suis un génie du mal, vous n’avez pas à me mépriser comme ça. »

Hitler s’approche et le prend par l’épaule :
« Allons, allons. Tu sais, tu nous as amusé. On t’aime bien finalement… La preuve, d’ailleurs, avec Staline, on discutait pour savoir qui allait faire la femme ce soir, et bien on a trouvé ! »

Hitler et la prédiction du voyant juif

Un jour de 1941, vers la fin de l’année Hitler va voir un voyant juif pour connaître l’issue de la guerre. Le voyant lui demande une pièce de 5 Reichmark et s’apprête à la jeter en l’air.

Hitler lui demande :
– Et c’est comme ça que tu vas me prédire l’avenir.
– Oui répond le voyant si c’est face l’Angleterre gagne si c’est pile c’est la Russie.
– Quoi ? dit Hitler c’est tout ce qui est possible dans l’avenir ?
– Non. dit le voyant il y a encore deux possibilités : La pièce tombe sur la tranche et c’est la France qui gagne. Enfin elle peut rester en l’air et là c’est la Tchécoslovaquie !

La blague du concours de police

Un candidat policier passe son examen en vue de recevoir :
1 ) Son képi
2 ) Son ceinturon
3 ) Son revolver

L’examinateur lui pose 3 questions :

– Quel personnage a perdu la bataille à Waterloo ?
– Pas de réponse.
– Je suis certain que vous savez la réponse, son nom commence par la lettre N
– Pas de réponse.
– Ensuite, il y a la lettre A.
– Na, Na ….. Navaro ?
– Mais non NA ..NA… puis il y a un P
– NAP, NAP ….. Napoléon ?
– Oui, c’est bien cela. Vous avez droit à votre képi.

– Quel était le nom du grand dictateur allemand en 1940 ?
– Pas de réponse.
– Allons, réfléchissez, son nom commençait par HI
– E.T. ?
– Non, il avait une moustache comme ça (et il met 2 doigts sous ses narines) ?
– Hitler ?
– Bravo, vous avez droit à votre ceinturon.

– Qui a tué Jésus-Christ ?
– Ça, je n’en ai aucune idée.
– Ecoutez, lui dit l’examinateur, rentrez chez vous, nous sommes vendredi, vous êtes fatigué, moi aussi, revenez lundi et de préférence avec la réponse.

Le candidat rentre chez lui, tout fier, avec son képi tout neuf et son beau ceinturon et sa femme lui demande comment s’est passé l’examen ?

Très bien, dit-il, j’ai répondu à 2 bêtes questions, les doigts dans le nez (tu me connais) et on m’a déjà donné ma première enquête.