blague goy

L’épreuve de mariage du rabbin

Un jeune goy fréquente la fille du rabbin Goldenberg et veut se marier avec elle. Pour ce faire il a besoin de l’autorisation du père. En allant faire sa demande officielle chez le père de la jeune fille, le rabbin lui explique :
« Nous sommes juifs et nous avons une forme particulière de faire les choses. Si tu veux te marier avec ma fille tu dois d’abord passer une petite épreuve. Prends cette orange et reviens demain. »

Le gars sort de là extrêmement surpris.

Le lendemain il revient voir le rabbin.
– Très bien, dit le père, qu’as-tu fait de l’orange ?
– Je l’ai mangée, j’avais faim.

Le rabbin réplique :
« Très mal ! Tu vois, chez nous, on épluche l’orange et avec la peau nous faisons une délicieuse liqueur. Nous coupons ensuite l’orange en deux, donnons la moitié aux pauvres et l’autre moitié nous la répartissons dans la famille. La moitié des pépins nous les vendons au marché, l’autre moitié nous les gardons pour semer. Tu vois comme nous sommes ?… Bon, je vais te donner une autre opportunité. Prends ce saucisson et revient demain. »

Le gars sort, un peu en rogne et revient le lendemain :
– Alors qu’as-tu fait du saucisson ?
– Avec le cordon, j’ai fait des lacets pour mes chaussures, avec le petit métal gravé j’ai fait un pendentif pour votre fille. J’ai coupé le saucisson à moitié, j’ai donné la moitié aux pauvres et l’autre moitié je l’ai répartie dans la famille.
– Très bien ! s’extasie le rabbin. Et qu’est-ce que tu as fait de la peau ?
– Avec la peau j’ai fait un préservatif, j’ai tiré un coup avec votre fille et je vous apporte le lait pour faire un lait russe !

Epouser un goy

C’est Rachel qui est toute contente de ramener à ses parents celui qu’elle pense être l’homme de sa vie. Seul problème : il est goy ! Comment faire pour annoncer ça aux parents ? Rachel se lance :
– Papa, je suis amoureuse et je veux me marier avec Bernard…
– Bernard ? Ne me dis pas qu’il n’est pas juif ?!
– Si papa, c’est un goy… Mais je te rassure, il m’a promis qu’il se convertirait au judaïsme pour m’épouser.
– Ah bon, j’aime mieux ça.

Bernard étant par ailleurs un bon parti, son adoption par la famille est immédiate. Pour que la conversion soit sincère, on propose à Bernard de faire un séjour en Israël pendant lequel il étudiera la Torah avant de se convertir. Bernard accepte.

Un an plus tard, il est de retour à Orly. Rachel est stupéfaite en le voyant débarquer : il porte la barbe, la kippa et les favoris ! Cependant, elle ne cache pas sa joie :
– Enfin te voilà ! Nous allons pouvoir nous marier !

Et Bernard répond :
– Ah ça non ! Pas question d’épouser une femme qui était prête à épouser un goy !

Le juif du Rotary Club

Moshe Levy veut entrer au Rotary club de Vitrolles. Il demande un formulaire d’inscription. Il découvre les questions au fur et à mesure.

Première question, le nom :
– Aïe ! Je vais pas mettre Levy. Rusons, je mets Dupont (au hasard). Deuxième question, le prénom :
– Si je mets Moshe, ils vont se douter de quelque chose. Je vais mettre Michael… non, plutot Jean.

Troisième question, le lieu de naissance :
– Je ne vais pas mettre Varsovie, plutôt Paris.

Quatrième question, la profession :
– Tailleur ? C’est risqué. Avocat, c’est une profession respectable. Et s’ils me parlent de droit ? Je leur demanderai des honoraires exorbitants, ça les découragera.

Dernière question, la religion :
– Soyons malins… Je vais mettre goy…

Le prix de la bite

C’est trois copains de régiment qui veulent aller aux putes un soir de permission. Ces trois copains sont un goy, un black et un juif. Les trois gars discutent un peu le coup avec la première prostituée qu’ils trouvent, et comme les clients sont rares et que les copains sont joueurs, il est convenu que le paiement des prestations se fera « au centimètre » et non pas au forfait…

Lorsque le goy sort de la chambre, les deux autres lui demandent combien il a payé. Le blanc répond : 300 balles

Lorsque le noir sort de la chambre, il est tout fier d’annoncer aux autres qu’il a payé 400 balles.

Finalement, c’est au tour du juif d’annoncer combien il a du payer :
– Moi j’ai payé 50 balles seulement …

Naturellement, les deux autres se foutent de sa gueule ! Alors le juif ajoute :
– … Ouais, moi je suis moins con que vous, j’ai payé à la sortie, pas à l’entrée !