blague garagiste

Séduire un garagiste

La directrice d’une agence matrimoniale tend une photographie à un de ses nouveaux clients :
– Vous qui êtes garagiste, lui dit-elle, celle-ci devrait vous plaire : admirez cette ligne, ces pare-chocs, ce pont arrière. Par contre, connaissant son tempérament, je ne saurais trop vous conseiller, si vous en veniez à l’épouser, de ne pas oublier de boucler votre ceinture de sécurité, au cours de la nuit de noces.

Sortir avec un garagiste

– Où en es-tu de ton flirt avec le garagiste ? Demande une mère inquiète à sa grande fille.
– Oh ! Il est amusant ! Il me compare constamment à une voiture. Il me dit que je suis bien carrossée, que j’ai deux superbes pare-chocs, que ma malle arrière a le galbe des plus beaux modèles italiens…
– Ouais, fait la mère, pas convaincue. Méfie-toi, en tout cas, quand il entreprendra de relever le capot et de bricoler le moteur.

Dessin d'un garagiste diagnostiquant sa compagne
Sortir avec un garagiste

Dégonflée à l’avant

Une automobiliste dit à un garagiste
– J’ai l’impression d’être un peu dégonflée à l’avant.
– C’est aussi ce que j’ai pensé, en vous voyant entrer, répondit-il. Mais je suis sûr que vous devriez parvenir à arranger ça avec un Wonderbra.

La blague du cric

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Donc, c’est un voyageur de commerce qui passe toute la semaine sur la route. Il rentre chez lui tous les week-ends, et nous sommes justement un vendredi soir, tard, la nuit est bien avancée. Il est encore au volant et il lui reste pas mal de chemin à faire.

Il se trouve dans un coin paumé, le dernier bled qu’il a traversé est déjà à une bonne vingtaine de kilomètres – le suivant n’est pas plus proche – lorsqu’une de ses roues crève. Comme c’est son boulot d’être sur la route et qu’il est organisé, il sait que sa roue de secours est OK, il se fait pas de soucis et se met en devoir de réparer ça. Il sort avec sa lampe électrique, chope la roue, puis s’aperçoit qu’il n’a pas son cric. Effectivement, le week-end précédent, il s’en est servi et ne l’a pas rangé.

Il n’a d’autre alternative que s’armer de courage et de partir à pieds au dernier village qu’il a traversé, où, se souvient-il, se trouve un garagiste qui devrait pouvoir lui vendre un cric.

C’est donc une longue marche qui l’attend. Comme on est en hiver, une pluie pénétrante commence à tomber et à le glacer jusqu’aux os. Il est dans le noir complet, sa lampe électrique ayant rendu l’âme quelques kilomètres après son départ.

Il commence donc à ressasser de noirs pensées, et à se parler à lui-même :
– Est-ce qu’au moins cet abruti de garagiste va avoir un cric ?
– Ouais, bien sûr, tous les garages ont des crics. Mais, le mec, il va te voir venir, … dans ta situation, il va au moins t’en demander 500 balles …

Quelques kilomètres passent, et il continue a rouméguer (terme occitan dont la sonorité suffit à comprendre la signification) :
– Tu parles, il peut même t’en demander 1000 balles, de toutes façons, t’as pas le choix.

Exacerbée par l’absurdité de la situation, par les éléments qui se déchaînent contre lui, une sourde colère croît en lui au fil des kilomètres, et il continue son dialogue intérieur :
– T’es complètement à sa merci, mec. Il peut même te le vendre 2000 balles, son cric, et toi, comme un con, t’auras qu’à la fermer et payer …

Il arrive enfin en vue du bled, et il aperçoit l’enseigne du garage. Il rassemble le peu de forces qui lui restent et force le pas, continuant à rouscailler :
– Tu vas voir que ce connard est capable de t’en demander 3000, 4000 balles. Tu parles, c’est pas tous les jours qu’il trouvera un tel pigeon.

Arrivé au portail du garage, il commence à tambouriner. Pas de réponse. Il s’active derechef pieds et poings contre le portail, une tête hagarde de sommeil se pointe alors à une fenêtre du premier étage. C’est alors que le voyageur de commerce, au comble de la fureur et avant que l’autre ait pu placer un mot, lui hurle :
– ESPÈCE D’ENCULÉ, TU SAIS OU TU PEUX TE LE COLLER, TON CRIC, …

La réparation de la voiture Belge

Un automobiliste belge se rend chez son garagiste :
– Bonjour, monsieur. Est-ce que vous pouvez changer mon avertisseur, s’il vous plaît ? Je voudrais qu’il soit dix fois plus fort.
– Mais pourquoi donc ?
– Parce que je n’ai plus de freins…