blague fumier

Les coups de fourches sur les fesses

En réconfortant son petit ami qui se tient les fesses, piquées à grands coups de fourche, une jeune paysanne lui dit :
– Tu sais que tu es très sympathique à mon père. La preuve, c’est qu’avant de t’exprimer ses sentiments avec sa fourche à remuer le fumier, je l’ai vu prendre la précaution d’en désinfecter les pointes avec de l’alcool à 90°.

Du fumier sur la rhubarbe

Un automobiliste, égaré en pleine campagne, demande son chemin à un paysan qui conduit un tombereau chargé de fumier.

Une fois renseigné, il questionne :
– C’est pour quoi faire, ce que vous transportez là ?
– Pour mettre sur ma rhubarbe, explique le paysan.
– Eh bien, s’écrie le citadin, estomaqué, ça va épater ma femme ! Elle qui s’étonne toujours que je mette de la confiture sur ma tarte aux pommes.

La blague du jeune marié dans la merde

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Dans une famille de paysans, le père dit à son fils, jeune marié, avant la nuit de noces :
– Ecoute, si jamais tu as des problèmes tu peux toujours m’appeler !

Dans la nuit, alors que les jeunes mariés essayent de faire l’amour, la jeune femme devient nerveuse et s’approche du marié qui recule… et tombe par la fenêtre sur le tas de fumier.

A ce moment-là, il se souvient du conseil de son père et s’écrie :
– Papa ! Papa !

Le père lui répond, de sa chambre :
– Qu’est-ce qu’il y a, fiston ?
– Papa, je suis dans la merde !

Le père répond :
– Change de trou, fiston !

La blague du fumier

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Une vieille dame de Paris a pris quelques jours de vacances dans le Cantal. Un jour ; elle se promène sur un chemin vicinal et qu’est-ce qu’elle voit au bord d’un champ d’épandage ? Un paysan en train de brasser le fumier.
– Oooh ! Qu’est-ce que vous faites là, mon bon ? lui demande-t-elle.
– Je suis en train de brasser du fumier pour le jardin de ma femme. Vous savez, le fumier ; c’est formidable. Vous en mettez rien qu’un peu sur votre plante et elle se dresse, elle reverdit et elle grimpe comme avant.

Là-dessus la vieille dame se penche, ramasse un peu de fumier ; le met dans son sac et dit :
– C’est pour mon mari !