blague flatulence

La blague du bon 69 campagnard

Le bon Marcel revient du salon de l’agriculture. Pendant une semaine il a bien déconné avec ses copains, copains qui n’ont pas hésité à l’affranchir sur toutes les choses du sexe, car il faut bien l’avouer, le Marcel, il en connaissait pas des tonnes sur la chose. Et c’est comme ça que ses poteaux lui ont expliqué ce que c’était que le « 69 ».

Pendant le repas, en dégustant la bonne potée, il dit à sa Germaine :
– Maman, ce soir j’m’en va t’montrer le 69 comme on fait à Paris.

Germaine essaie bien d’en savoir un peu plus, mais Marcel lui dit que c’est une surprise et qu’elle verrait bien plus tard. Une fois bien rassasiés, ils vont se coucher.

Alors Marcel explique à Germaine ce que c’est que le 69 et ils se mettent en position… Mais les choux commencent à agir et la dilatation du colon de Marcel devient vite incontrôlable !

Le pauvre Marcel n’y tient plus et largue un monstrueux pet. La pauvre Germaine, au bord de l’asphyxie gémit :
– Et y a encore 68 comme ça ?

La blague du Dieu Nonoss

Ne vous êtes-vous jamais demandé ce qui poussait les chiens à se renifler le derrière à chaque fois qu’ils rencontrent un de leurs congénères ? Je vais vous donner l’explication :

Il y a très très longtemps, bien avant que les humains n’apparaissent, c’étaient les chiens qui régnaient en maîtres sur la planète. Ils étaient comme le sont les humains actuellement : ils marchaient sur leurs pattes de derrière, ils parlaient entre eux, bref, ils avaient ce que l’on peut appeler une vraie société… La seule différence est qu’ils vivaient avec un Dieu vivant, le dieu « Nonoss ».

Un jour, en pleine célébration du dieu Nonoss, un des chiens de l’assemblée laissa échapper une flatulence d’une odeur pestilentielle et cette odeur infecte se propagea jusqu’aux narines du dieu Nonoss.

Le dieu fut extrêmement fâché, et demanda au chien coupable de se dénoncer pour qu’il subisse sa punition. Or, aucun chien n’avança. Le Dieu Nonoss, après de multiples menaces, décida de transformer tous les chiens en ce qu’ils sont aujourd’hui.

Et depuis ce jour-là, les chiens cherchent le coupable…

La blague des types de péteurs

Le péteur aimable :
Apprécie les pets des autres. Goûte particulièrement leur odeur.

Le péteur ambitieux :
Souhaite que ses pets soient plus bruyants et plus odorants que ceux de ses voisins.

Le péteur asocial :
S’excuse et se retire pour péter. Prend son après-midi de congés lorsqu’il mange du cassoulet.

Le péteur brute :
Pète plus fort qu’aucun autre.

Le péteur déçu :
Fait des pets qui ne sentent pas.

Le péteur économe :
A toujours plusieurs pets en réserve. Ne les distille qu’en cas d’absolue nécessité.

Le péteur embarrassé :
A le visage tellement ravagé que le pet ne sait pas de quel côté aller.

Le péteur finaud :
Accompagne son pet d’un rire sonore et d’une bonne claque sur le dos de son voisin.

Le péteur geek :
S’insère un filtre à charbon dans le caleçon avec silencieux incorporé pour être dans l’air du temps.

Le péteur gêné :
Pète silencieusement, souffle en mettant sa bouche en coin pour chasser l’odeur. Rougit tel une pivoine.

Le péteur goujat :
Admet que c’était la maîtresse de maison qui a pété.

Le péteur honnête :
Admet avoir pété mais fournit une raison médicale.

Le péteur hyperactif :
Saute en air, pète trois fois et claque ses talons simultanément.

Le péteur hypersensible :
Pète et se met à pleurer (surtout s’il a mangé beaucoup d’oignons).

Le péteur idiot :
Pète tout en faisant des gloussements bébêtes.

Le péteur ignorant :
Est persuadé que ses pets ne puent pas.

Le péteur insensé :
Retient ses pets pendant des heures. A toujours la nausée et le teint verdâtre en fin de journée.

Le péteur insolent :
Pète effrontément, se tape les mains sur les cuisses en riant.

Le péteur intellectuel :
Pète au moindre effort physique. Fait des statistiques avec ses pets de la journée.

Le péteur joueur :
Pète dans sa baignoire et filme la remontée des bulles au caméscope.

Le péteur malheureux :
Essaie de péter – n’y parvient pas – Au lieu de cela, fait caca dans sa culotte.

Le péteur musicien 1 :
Ténor ou baryton – Pète d’un son pur comme l’eau claire – sent comme la merde, tonne comme l’enfer.

Le péteur musicien 2 :
Suit des règles alimentaires très strictes pour entraîner sa voix plusieurs fois par jour. Invite parfois ses collègues à faire un « bœuf ».

Le péteur négligé :
Pète, pétille et pétronne – finit par en pourrir son caleçon.

Le péteur nerveux :
S’arrête au beau au milieu d’un pet.

Le péteur orgueilleux :
Prend son rectum pour une parfumerie. Trouve ses pets très raffinés.

Le péteur prévoyant :
S’excuse avant de péter.

Le péteur professionnel :
Est capable d’après l’odeur des pets de ses voisins de dire ce qu’ils ont mangé.

Le péteur rouspéteur :
Bougonne quand les dames pètent.

Le péteur sadique :
Pète dans son lit et chasse l’air en secouant les couvertures vers sa compagne ou compagnon.

Le péteur sage :
Pète et demande « Mais qui diable a fait caca ? »

Le péteur scientifique :
Pète régulièrement mais s’inquiète sur l’augmentation du trou de la couche d’ozone.

Le péteur sournois :
Pète et accuse le chien ou le chat.

Le péteur sympa :
Saute devant vous pour péter et vous en faire profiter.

Le péteur vaniteux :
Pense qu’il est celui qui pétera le plus fort – et fait de multiples essais. Aime l’odeur de ses pets.