Le péteur aimable :
Apprécie les pets des autres. Goûte particulièrement leur odeur.
Le péteur ambitieux :
Souhaite que ses pets soient plus bruyants et plus odorants que ceux de ses voisins.
Le péteur asocial :
S’excuse et se retire pour péter. Prend son après-midi de congés lorsqu’il mange du cassoulet.
Le péteur brute :
Pète plus fort qu’aucun autre.
Le péteur déçu :
Fait des pets qui ne sentent pas.
Le péteur économe :
A toujours plusieurs pets en réserve. Ne les distille qu’en cas d’absolue nécessité.
Le péteur embarrassé :
A le visage tellement ravagé que le pet ne sait pas de quel côté aller.
Le péteur finaud :
Accompagne son pet d’un rire sonore et d’une bonne claque sur le dos de son voisin.
Le péteur geek :
S’insère un filtre à charbon dans le caleçon avec silencieux incorporé pour être dans l’air du temps.
Le péteur gêné :
Pète silencieusement, souffle en mettant sa bouche en coin pour chasser l’odeur. Rougit tel une pivoine.
Le péteur goujat :
Admet que c’était la maîtresse de maison qui a pété.
Le péteur honnête :
Admet avoir pété mais fournit une raison médicale.
Le péteur hyperactif :
Saute en air, pète trois fois et claque ses talons simultanément.
Le péteur hypersensible :
Pète et se met à pleurer (surtout s’il a mangé beaucoup d’oignons).
Le péteur idiot :
Pète tout en faisant des gloussements bébêtes.
Le péteur ignorant :
Est persuadé que ses pets ne puent pas.
Le péteur insensé :
Retient ses pets pendant des heures. A toujours la nausée et le teint verdâtre en fin de journée.
Le péteur insolent :
Pète effrontément, se tape les mains sur les cuisses en riant.
Le péteur intellectuel :
Pète au moindre effort physique. Fait des statistiques avec ses pets de la journée.
Le péteur joueur :
Pète dans sa baignoire et filme la remontée des bulles au caméscope.
Le péteur malheureux :
Essaie de péter – n’y parvient pas – Au lieu de cela, fait caca dans sa culotte.
Le péteur musicien 1 :
Ténor ou baryton – Pète d’un son pur comme l’eau claire – sent comme la merde, tonne comme l’enfer.
Le péteur musicien 2 :
Suit des règles alimentaires très strictes pour entraîner sa voix plusieurs fois par jour. Invite parfois ses collègues à faire un « bœuf ».
Le péteur négligé :
Pète, pétille et pétronne – finit par en pourrir son caleçon.
Le péteur nerveux :
S’arrête au beau au milieu d’un pet.
Le péteur orgueilleux :
Prend son rectum pour une parfumerie. Trouve ses pets très raffinés.
Le péteur prévoyant :
S’excuse avant de péter.
Le péteur professionnel :
Est capable d’après l’odeur des pets de ses voisins de dire ce qu’ils ont mangé.
Le péteur rouspéteur :
Bougonne quand les dames pètent.
Le péteur sadique :
Pète dans son lit et chasse l’air en secouant les couvertures vers sa compagne ou compagnon.
Le péteur sage :
Pète et demande « Mais qui diable a fait caca ? »
Le péteur scientifique :
Pète régulièrement mais s’inquiète sur l’augmentation du trou de la couche d’ozone.
Le péteur sournois :
Pète et accuse le chien ou le chat.
Le péteur sympa :
Saute devant vous pour péter et vous en faire profiter.
Le péteur vaniteux :
Pense qu’il est celui qui pétera le plus fort – et fait de multiples essais. Aime l’odeur de ses pets.