blague féminisme

La blague du féminisme au 17ème siècle

Le XVIIIème siècle ne fut sûrement pas une époque de féminisme galopant à en juger par un poème du Parnasse Satyrique… Une telle goujaterie choquerait même le plus machiste de nos contemporains.
Ouvrez bien les nénuphars !

Fille à 10 ans est un petit livret
Intitulé le berceau de nature.
Fille à 15 ans est un joli coffret
Qu’on n’ouvre pas sans forcer la serrure
Fille à 20 ans est un épais buisson
Dont maint chasseur, pour le battre, s’approche.
Fille à 30 ans est de la venaison
Bien faisandée et bonne à mettre en broche.
À 40ans, c’est un gros bastion
Où le canon a fait plus d’une brèche.
À 50 ans, c’est un vieux lampion
Où l’on ne met qu’à regret une mèche.

La blague des avantages féminins

– Nous avons été sauvées du Titanic en premier.

– Nous pouvons effrayer les chefs avec des excuses concernant de mystérieux problèmes gynécologiques.

– Nous n’avons jamais soupiré après un personnage de BD ou le personnage principal d’un jeu vidéo.

– Les taxis s’arrêtent pour nous.

– Nous ne ressemblons pas à une grenouille dans un mixer quand nous dansons.

– Boissons gratuites, repas offerts, cinéma offert (vous gagnez un point).

– Un nouveau rouge à lèvres donne un nouveau souffle à notre vie.

– Nous ne sommes pas obligées de péter pour nous faire rire.

– Si nous oublions de nous raser le matin, il n’y a personne pour s’en apercevoir.

– Nous n’avons pas à nous gratter régulièrement pour vérifier que nos parties intimes sont toujours là.

– Nous sommes capables de nous habiller seules.

– Nous pouvons parler à des personnes du sexe opposé sans devoir les imaginer nues.

– Il y a des moments où le chocolat peut réellement résoudre tous nos problèmes.

– Nous ne regrettons jamais de nous être fait percer les oreilles.

– Nous pouvons tout à fait juger une personne rien qu’en examinant ses chaussures.

– Nous ne découvrirons jamais que nous nous sommes fait avoir par un Wonderbra.

– Nous aurons toujours suffisamment d’intelligence pour faire marcher les hommes en leur laissant croire qu’ils sont plus forts, plus intelligents, plus psychologues que nous.

Caroline De Haas

A trop vouloir plaider sa cause
De Haas la féministe explose
A force de voir du mâle partout
Elle a du mal à faire son trou
Car le pays où elle habite
A été construit par des bites
Féminazie, esprit étroit
Même Schiappa veut plus de toi

Lazzi

copie d'écran d'actualité parlant du départ des réseaux sociaux de la féministe Caroline de Haas
Caroline De Haas

« Insultée, la féministe Caroline de Haas quitte les réseaux sociaux. » (source : La Parisienne)

Petite mise au point :
« Je suis fermement opposé à toute violence faite aux femmes. En presque un demi-siècle, j’ai toujours respecté les femmes, qui sont nos égales dans la différence. Je suis par contre également farouchement opposé aux féminazies, qui sous prétexte de combattre pour les femmes ne veulent en fait qu’inverser les choses et oppresser les hommes. L’important aujourd’hui est de ne pas se tromper de combat, tous les hommes ne sont pas des agresseurs en puissance, le comportement masculin face aux femmes est un problème d’éducation, et principalement d’éducation familiale. Le harcèlement n’est d’ailleurs pas la seule conséquence de cette perte de repères et de valeurs, voir par exemple l’incivilité qui devient un fléau français. Une autre frange de cette triste population est liée au pouvoir, qui dénature les rapports humains de la pire manière. Les harceleurs d’aujourd’hui sont pour la plupart des enfants éduqués sans valeurs qui ont grandi dans le mythe grotesque d’une virilité outrancière, seule manière pour eux de se valoriser, et ce n’est pas en oppressant toute la population masculine que l’on résoudra le problème. La misogynie n’est pas masculine, elle est d’abord culturelle. Assimiler les hommes à des agresseurs en puissance, c’est faire aussi des hommes corrects, éduqués, leurs ennemis. »
Lazzi

Jeunisme et tyrannie de l’apparence

Violences faites aux femmes : vers une vraie prise de conscience ?

Jeunisme, tyrannie de l’apparence, canons de la beauté déviants niant la féminité et la maturité, disparition des femmes de plus de 50 ans dans la fiction – et le monde du travail ! – médecine vénale, cynique et complice de la propagande de la presse féminine et du monde de la mode… : la société moderne dans son ensemble, et de plus en plus, fait violence aux femmes. Dans cette fausse douceur presqu’indolore qu’avait prévu Huxley (sauf en fin d’anesthésie).

dessin drôle de l'arrestation du chirurgien esthétique d'Emmanuel Béart dans le cadre des violences faites aux femmes
26 novembre 2017 – Jeunisme et tyrannie de l’apparence

Policier : « Vous êtes bien le chirurgien esthétique d’Emmanuelle Béart ? Veuillez nous suivre, s’il vous plaît. »

(Dessin du 26 novembre 2017)