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La blague de la science des puces

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Les conclusions des études scientifiques peuvent surprendre quelques fois. Un scientifique fait des expériences sur une puce.

Il lui dit : « saute ! ».
Et la puce saute.

Il lui coupe une patte, et lui dit : « saute ! ».
Et la puce saute.

Il lui coupe deux pattes, et lui dit : « saute ! ».
Et la puce saute.

Il lui coupe trois pattes et lui dit : « saute ! ».
Et la puce saute.

Il lui coupe quatre pattes, et lui dit : « saute ! ».
Mais la puce ne saute pas.

Il répète, plus fort : « SAUTE ! ».
Mais la puce ne saute toujours pas.

Le scientifique rédige ses conclusions : quand on coupe quatre pattes à une puce, elle devient sourde.

L’expérience de mort cérébrale

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C’est en France, un scientifique veut faire des expériences sur le cerveau humain, il a obtenu un cobaye et décide de lui enlever un bout du cerveau…

Il lui ouvre le crâne, lui coupe juste une fine pelure et lui demande alors : « Combien font 3 et 16 ? »
Le cobaye répond : « 19 ! »

Alors le scientifique prend confiance en lui… et lui enlève un quart du cerveau !
Il lui demande alors : « Combien font 26 et 8 ? »
Le cobaye répond : « 34 ! »

Agacé, il lui enlève maintenant la moitié du cerveau !
Il lui demande alors : « Combien font 61 et 32 ? »
Le cobaye répond : « 93 ! »

Le scientifique en a marre, il vide son crâne, récure bien dans tous les coins (passe le papier de verre et tout et tout…).

Il lui demande alors : « Combien font 41 et 32 ? »
Le cobaye répond : « Vous avez les papiers du véhicule ? »

L’ingénieur, le physicien et le mathématicien

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Lors d’une expérience, un ingénieur, un physicien et un mathématicien sont enfermés chacun dans une pièce, avec une boite d’épinard, mais sans ouvre-boîtes.

24 heures plus tard, les portes de chacune des trois pièces s’ouvrent….

Dans la première pièce, l’ingénieur est en train de dormir avec à côté de lui la boite de conserve toute cabossée, mais ouverte et vide. On le réveille et on lui demande comment il a procédé. Il explique :
– Quand j’ai eu faim, j’ai pris la conserve et j’ai tapé sur son point de moindre résistance.

Dans la deuxième pièce, le physicien est lui aussi repu d’épinards. Il explique :
– Quand j’ai eu faim, j’ai observé la boite, posé quelques équations et appliqué une forte pression sur les points idoines, et la boite s’est ouverte.

Dans la troisième pièce, le mathématicien est assis par terre dans un coin, la boite d’épinard à ses pieds et il marmonne en transpirant à grosses gouttes :
– Supposons que la boite est ouverte, supposons que la boite est ouverte…

La philosophie des pierres

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Un jour, un vieux professeur de l’école nationale d’administration publique (ENAP) fut engagé pour donner une formation sur la planification efficace de son temps à un groupe d’une quinzaine de dirigeants de grosses compagnies nord-américaines.

Ce cours constituait l’un des cinq ateliers de leur journée de formation. Le vieux prof n’avait donc qu’une heure pour passer sa matière. Debout, devant ce groupe d’élite (qui était prêt à noter tout ce que l’expert allait enseigner), le vieux prof les regarda un par un, lentement, puis leur dit :
« Nous allons réaliser une expérience. »

De sous la table qui les séparait de ses élèves, le vieux prof sortit un immense pot Masson d’un gallon (pot de verre de plus de 4 litres) qu’il posa directement en face de lui. Ensuite, il sortit environ une douzaine de cailloux à peu près gros comme des balles de tennis et les plaça délicatement, un par un, dans le gros pot.

Lorsque le pot fut rempli jusqu’au bord et qu’il fut impossible d’y ajouter un caillou de plus, il leva lentement les yeux vers ses élèves leur demanda :
« Est-ce que ce pot est plein ? »

Tous répondirent: « Oui ! »
Il attendit quelques secondes et ajouta : « Vraiment ? »

Alors, il se pencha de nouveau et sortit dessous la table un récipient rempli de gravier. Avec minutie, il versa ce gravier sur les gros cailloux puis brassa légèrement le pot. Les morceaux de graviers s’infiltrèrent entre les cailloux… jusqu’au fond du pot.

Le vieux prof leva à nouveau les yeux vers son auditoire et demanda :
« Est-ce que ce pot est plein ? ».

Cette fois, ses brillants élèves commençaient à comprendre son manège. L’un d’eux répondit : « Probablement pas ! ».
« Bien ! » répondit le vieux prof.

Il se pencha de nouveau et cette fois, sortit de dessous la table une chaudière de sable. Avec attention, il versa le sable dans le pot. Le sable alla remplir les espaces entre les gros cailloux et le gravier.

Encore une fois, il demanda :
« Est-ce que ce pot est plein ? ».
Cette fois, sans hésiter et en coeur, les brillants élèves répondirent : « Non ! ».
« Bien ! » répondit le vieux prof.

Et comme s’y attendaient ses prestigieux élèves, il prit le pichet d’eau qui était sur la table et remplit le pot jusqu’à ras bord. Le vieux prof leva alors les yeux vers son groupe et demanda :
« Quelle grande vérité nous démontre cette expérience ? »

Pas fou, le plus audacieux des élèves, songea au sujet de ce cours, répondit :
« Cela démontre que même lorsqu’on croit que notre agenda est complètement rempli, si on veut,… le veut vraiment, on peut y ajouter plus de rendez-vous, plus de choses à faire ».
« Non » répondit le vieux prof. « Ce n’est pas cela. La grande vérité que nous démontre cette expérience est la suivante : Si on ne met pas les gros cailloux en premier dans le pot, on ne pourra jamais les faire entrer tous, ensuite »
Il y eut un profond silence, chacun prenant conscience de l’évidence de ces propos.

Le vieux prof leur dit alors :
« Quels sont les gros cailloux dans votre vie ? Votre santé, votre famille, vos ami(e)s, réaliser vos rêves, faire ce que vous aimez, apprendre, ….et moi !! Ce qu’il faut retenir, c’est l’importance de mettre ses GROS CAILLOUX en premier dans sa vie, sinon on risque de ne pas réussir…sa vie. Si on donne priorité aux broutilles (le gravier, le sable), on remplira sa vie de broutilles et on aura plus suffisamment de temps précieux à consacrer aux éléments importants de sa vie. Alors n’oubliez pas de vous poser à vous-même la question : Quels sont les GROS CAILLOUX DANS MA VIE ?… Ensuite, mettez-les en premier. »

D’un geste amical de la main, le vieux professeur salua son auditoire et lentement quitta la salle.