blague espionne

La blague du prisonnier de guerre

Pendant la Grande Guerre, une très belle espionne allemande revient des lignes françaises et se présente à l’état-major du Kaiser.
– Mission accomplie ! annonce-t-elle fièrement. J’ai pu m’introduire dans le quartier général français en séduisant un jeune officier de chasseurs, plutôt joli garçon. Il m’a fait des confidences, et je peux vous annoncer que les Français n’aiment pas du tout notre Kaiser Guillaume II… Mais ce n’est pas tout ! J’ai également réussi à faire un prisonnier : le propre fils de cet officier d’état-major français !
– Magnifique ! s’exclament les Allemands. Où est-il ?
– Ach ! fait l’espionne. Malheureusement je ne pourrai vous le livrer que dans neuf mois…

La pénétration de Mata-Hari

Les perles : la justice

Me Clunet, l’avocat de la danseuse espionne Mata-Hari, vole une dernière fois au secours de sa cliente condamnée à mort. Il prétend qu’elle est enceinte.
– Mais, lui objecte la Chancellerie, cela est impossible : aucun homme n’a pénétré auprès d’elle depuis des mois et des années !
– Si, moi, réplique Me Clunet !
Courageux mais vain mensonge, vite débusqué par le médecin de la prison.