blague épandage

Épandage fatal

Drame rural : un chasseur abat un agriculteur qui épandait à moins de 300 mètres de sa maison.

dessin de Zaïtchick sur la proposition du président des chasseurs, Willy Schraen, de tuer les chats à 300 mètres des habitation, sur l’épandage et les pesticides
17 mai 2020 – Épandage fatal

Chasseur : « Je l’ai pris pour un chat ! »
(Caricature chasseur – Dessin du 17 mai 2020)

L’instinct des mouches à merde

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Par un beau jour d’été, le père Mathieu a décidé de vider son tas de fumier qui trônait au beau milieu de sa ferme, et d’aller l’épandre sur les chaumes.

Mais l’épandeur à fumier du père Mathieu n’est pas de première jeunesse et pour comble de malchance, il casse un essieu juste devant la mairie, au beau milieu de la rue principale du village. Naturellement, voilà tout le fumier par terre…

Le garde champêtre arrive aussitôt et commence à lui dresser un procès-verbal, agrémenté d’une amende pour « Dépôt de matières fécales sur une voie communale et entrave à la circulation ».

Pendant qu’il écrit sur son carnet à souche, le garde champêtre se retrouve environné de mouches à merde (des grosses ‘mouq à brin’, comme y disent-te par chi), et énervé comme pas possible, il se met à jurer et fouetter l’air de ses mains dans l’espoir de les faire partir, mais rien n’y fait.

Le père Mathieu voyant les déboires du garde lui dit :
– Tu sais comment on appelle ces mouches ? Des mouches à cul… Et tu sais pourquoi on les appelle comme ça ? Parce qu’elles sont toujours en train de voler autour du cul des vaches !
– Holà père Mathieu, ça serait-y que tu m’aurais traité de « cul de vache ? »
– Ho ben non mon gars… mais ces mouches là, on les trompe pas !

La blague du fumier

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Une vieille dame de Paris a pris quelques jours de vacances dans le Cantal. Un jour ; elle se promène sur un chemin vicinal et qu’est-ce qu’elle voit au bord d’un champ d’épandage ? Un paysan en train de brasser le fumier.
– Oooh ! Qu’est-ce que vous faites là, mon bon ? lui demande-t-elle.
– Je suis en train de brasser du fumier pour le jardin de ma femme. Vous savez, le fumier ; c’est formidable. Vous en mettez rien qu’un peu sur votre plante et elle se dresse, elle reverdit et elle grimpe comme avant.

Là-dessus la vieille dame se penche, ramasse un peu de fumier ; le met dans son sac et dit :
– C’est pour mon mari !