Un mec, une nana : – Si tu dors, envoie-moi tes rêves ; si tu ris, envoie-moi ton sourire ; si tu pleures, envoie-moi tes larmes… Je t’aime. – Chuis en train de faire caca, je t’envoie quoi ?
« Je ne sais pas si vous allez oui ou non m ’envoyer un chèque ou s ’il vous manque encore une pièce à votre dossier, mais je me permets d’insister : écrivez-moi, à la maison, même si vous n’avez rien à me dire. »
« Il est inutile de continuer à m’envoyer des papiers de toutes les couleurs auxquels je ne comprends rien. Ayez plutôt le courage de venir me dire en face ce que vous avez à me dire. »