blague emploi

Sale air universel

dessin humoristique de Benoît Hamon qui parle de son revenu universel
30 janvier 2017 – Sale air universel

François, Penelope, Benoît… sale air universel.
Benoît Hamon : « Donner ainsi un salaire à quelqu’un sans qu’il ne travaille… c’est un scandale de droite !!! »
(Caricature Benoît Hamon – Dessin du 30 janvier 2017)

Ouf ! Nos emplois sont sauvés !

Les actionnaires de la SNCF vont engraisser des aides indirectes du gouvernement
6 octobre 2016 – Ouf ! Nos emplois sont sauvés !

Le gouvernement a dévoilé une commande exceptionnelle de 15 rames de TGV pour préserver l’emploi des salariés de l’usine Alstom menacée de fermeture. Con…tribuables : se servir de nos impôts pour enrichir les actionnaires de la SNCF.
(Dessin du 6 octobre 2016)

Le changement c’est maintenant !

Le changement, ce n'est pas l'élection présidentielle, c'est Pierre Gattaz qui va diriger la France
20 avril 2016 – Le changement c’est maintenant !

Le patron des patrons va rencontrer tous les candidats à l’élection présidentielle pour qu’ils mettent en oeuvre les réformes de structure permettant moins de complexité et moins de rigidité pour licencier… euh… embaucher.
(Dessin du 20 avril 2016)

Non, l’uberisation n’est pas la paupérisation !

Avec Uber, les chauffeurs sont enchaînés à leurs contrats
28 janvier 2016 – Non, l’uberisation n’est pas la paupérisation !

Uber profite de la crise de l’emploi pour presser les chauffeurs comme des citrons en récupérant une commission sur chacune de leurs courses. Les chauffeurs payent bien taxes et impôts sur les 80% du prix d’une course qui leur reviennent, il est difficile d’en dire autant d’Uber ! Morcellement de l’emploi et mise en concurrence des travailleurs : diviser pour mieux asservir, merci Uber !
(Caricature Uber – Dessin du 28 janvier 2016)

Le poste vacant de secrétaire

– Non, mademoiselle, dit le chef du personnel à la superbe nana qui vient solliciter un emploi, je n’ai aucune place de secrétaire vacante en ce moment.

La futée, assise en face de lui, feint de laisser tomber son sac. Elle se baisse pour le ramasser, de telle sorte que son manteau s’entrouvre, en montrant qu’elle porte juste en dessous une légère combinaison de soie noire.
– Mais, poursuit son interlocuteur, émoustillé par ce charmant spectacle, revenez donc me voir demain matin. Ce serait bien rare que, d’ici là, une de mes employées n’ait pas commis une erreur impardonnable qui m’obligera à la congédier sur-le-champ.