blague écologie

Lutter contre la pollution des sites

– Quand tu m’as demandé de t’acheter un aspirateur portatif, qui se branche sur l’allume-cigare, dit un monsieur à sa femme, je pensais que c’était pour nettoyer l’intérieur de notre voiture. Je trouve que tu prends trop au sérieux ton rôle de présidente de l’Association contre la pollution des sites quand tu t’en sers pour nettoyer à fond sous l’arbre où nous avons pique-niqué.

Le recyclage du papier

Au Centre national de la recherche scientifique, deux savants bavardent :
– Moi, dit le premier, en recyclant une tonne de papier imprimé, je suis parvenu à obtenir 500 kilos de papier blanc. Avouez que c’est bon pour l’écologie, ça !
– Ouais. Moi, je suis une autre piste qui serait encore bien meilleure. Avec une tonne de vieux journaux, j’espère arriver à obtenir un arbre que l’on pourrait planter dans son jardin.

Du vent et du pognon

Les éoliennes sont de parfaites pompes à fric
4 décembre 2014 – Du vent et du pognon

L’éolien est une énorme industrie représentant une manne de profit supplémentaire pour les grands groupes de l’énergie. Et tant pis pour l’écologie. Du vent ! Du pognon ! Et l’environnement ?
(Dessin du 4 décembre 2014)

Les verts et l’ampoule

Combien faut-il de Verts pour changer une ampoule ?

Aucun, il faut revenir à la bougie… Ah non, ça émet du CO2… Donc d’accord pour l’ampoule, mais alors en verre recyclé… Et surtout pas alimentée par une centrale nucléaire… Pas par une centrale à charbon non plus, c’est polluant… Par une éolienne ? Ah non c’est trop cher…

La blague des verts et des loups

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Suite aux attaques répétées des loups contre les troupeaux de moutons, une réunion entre bergers, représentants de l’état et écologistes a eu lieu. Aux bergers qui réclamaient l’organisation de battues destinées à tuer le maximum de loups pour en contrôler la population, les écologistes ont présenté une alternative.

La solution « plus humaine » préconisée par les Verts était celle-ci : « Capturons les loups vivants, faisons une vasectomie aux mâles puis relâchons les. Ainsi, les loups opérés garderont leur instinct de mâles, il feront comme d’habitude leurs saillies sur les femelles, mais par contre, les femelles ne seront plus fécondées, c’est de cette manière que la population sera le mieux contrôlée. »

Lorsque le représentant des écolos eut terminé son exposé, les bergers prirent quelques secondes pour réfléchir à la proposition, puis un vieux fermier qui avait fait le déplacement, se leva d’un bond, prit son chapeau et le claqua par terre en s’adressant au représentant des Verts :
« Ecoute gamin, je crois que t’as pas bien saisi le problème : les loups, ils ne baisent pas nos moutons… ils les bouffent ! »