blague dopage

Tricheur à l’insu de son plein gré

Les perles : la justice

« Je n’ai jamais été un tricheur. J’ai fait mon premier Tour de France avec RMO en 1992 à l’eau claire. Et j’ai pris le maillot jaune, le maillot vert et le maillot à pois », affirme le coureur varois Richard Virenque devant le tribunal lillois, le 24 octobre 2000, quelques instants avant de reconnaître qu’il s’est dopé… Ou plutôt de lui préférer l’ordre de la périphrase : « Dans le vélo, on ne dit pas dopage. Il y a un médecin pour s’occuper de votre préparation. Se doper, c’est être positif. »

Quelques jours plus tard, à la fin de l’audience, s’adressant le plus sérieusement du monde à son ex-soigneur, Virenque lâchera, caustique : « J’ai un peu mal au cul. Tu peux pas me masser ? »

Le sport sans le dopage

« Mettons que les sportifs arrêtent le doping… On aura l’air malin devant nos téléviseurs en attendant qu’ils battent les records ! Et puis le Tour de France, pour arriver le 14 juillet, eh ben y faudra qu’ils partent à Noël ! »

Coluche

L’hôtel du Tour de France

Un jardinier d’un grand hôtel découvre que ses rosiers font plus de dix mètres de haut. Il découvre également des tomates de 20 centimètres de diamètre, des melons de dix kilos…

Il appelle le directeur et lui dit :
– Moi, je veux bien que l’hôtel héberge le Tour de France, mais dites aux coureurs d’arrêter de pisser dans le jardin…

La blague des moutons du boxeur

C’est un grand boxeur qui souffre d’insomnies à répétition… Son entraîneur, alerté par la baisse de forme de son poulain, l’incite à consulter un médecin.

Chez le généraliste, le boxeur se confie :
– Vous comprenez docteur, c’est plus possible, à force de ne plus dormir, je n’arrive plus à récupérer et si ça continue, je vais perdre des combats. Il faut que vous trouviez une combine, mais attention : pas de somnifère because « dopage »…

Le médecin réfléchit et lui conseille :
– Écoutez, comme on ne peut pas utiliser de calmant Ni de somnifère avec vous, on va en revenir aux bonnes vieilles méthodes: vous allez compter les moutons !

Une semaine plus tard, le boxeur est de retour dans le cabinet du médecin :
– Docteur, il va falloir trouver autre chose. Les moutons, c’est pas possible : à chaque fois que j’arrive à 9, je me relève…