blague diagnostic
La blague de l’ordonnance aqueuse

Le médecin, en train de rédiger son ordonnance :
– Alors, vous prendrez un comprimé vert avec un grand verre d’eau au lever, un comprimé bleu avec un grand verre d’eau pendant votre repas à midi, et un comprimé rouge le soir avant d’aller dormir, toujours avec un grand verre d’eau.
Le patient, inquiet :
– Mais docteur, quel est mon problème exactement ?
Le docteur :
– C’est que vous ne buvez pas assez d’eau.
Vous faites de l’amnésie
– Votre cas est très simple, dit le médecin au patient qui est venu le consulter Vous faites de l’amnésie. Tenez, je vous inscris ce mot sur cette feuille parce que, tête en l’air comme vous l’êtes, je suis sûr que vous l’aurez complètement oublié, au moment où vous voudrez dire à votre femme quel est mon diagnostic.
L’urine du tailleur
– Mon mari ne se sent pas bien, dit la femme d’un tailleur au médecin, mais il n’a pas voulu venir vous consulter. Voici un flacon de ses urines. Il assure qu’avec ça, vous devez être capable de deviner ce qu’il a.
Pour toute réponse, le médecin saisit un flacon vide, fait pipi dedans et dit à la dame :
– Si, à partir de cela, votre mari est capable de me tailler un costume sur mesure alors, moi, j’accepte de lui rédiger une ordonnance.
La blague des rougeurs suspectes

Un type va chez le docteur et lui dit :
– La nuit ça va, mais dès que j’arrive au bureau, j’ai des rougeurs plein la figure et je commence à m’étouffer.
Le docteur répond :
– Déshabillez-vous ! Puis il l’ausculte de fond en comble et dit :
– C’est le foie… Il faut qu’on vous l’enlève.
Le gars entre en clinique et, quinze jours après, ressort avec le foie en moins.
Il retourne à son bureau, se regarde dans la glace des toilettes, voit qu’il a des rougeurs sur la figure et sent qu’il commence à s’étouffer. Alors cette fois, il va voir un grand spécialiste, qui fait des tas d’analyses, de prélèvements et finit par lui dire :
– Ca vient de l’estomac… Il faut qu’on vous l’enlève.
Et hop ! Un mois de clinique… On lui retire l’estomac et, pendant sa convalescence, plus de rougeurs ni d’étouffements. Le type, très content, paie la clinique, rentre chez lui et se couche.
Le lendemain matin, il va au bureau et, à peine est-il dans la rue qu’il commence à étouffer et à devenir rouge. Une ambulance le ramasse, on le trimbale à l’hôpital, tous les médecins commencent à s’interroger sur son cas et, en fin de compte, on décide de lui enlever l’intestin.
Au bout de trois mois, il se remet péniblement sur pied, et on lui dit :
– Voilà ! Vous n’aurez plus jamais de rougeurs ni d’étouffements ; seulement, vous n’en avez plus que pour cinq ou six mois à vivre…
– Bon, dit le type. Si c’est comme ça, que je finisse au moins en beauté !
Il réunit donc toutes ses économies et avec, s’achète une belle voiture, se paie des filles extraordinaires et décide de devenir très élégant. Puis il entre dans un grand magasin, commande cinq costumes sur mesure, douze cravates, vingt paires de chaussures et dit :
– Je voudrais une chemise par jour pendant cinq mois.
– Ca fait cent cinquante chemises ! Bien, dit le vendeur. Attendez que je prenne vos mesures… 57 de longueur de manches, 75 de tour de taille, 63 de longueur totale et 40 d’encolure…
– Non dit le gars. Mon tour de cou, ce n’est pas 40, mais 37…
– Monsieur, vous avez 40 d’encolure, je viens de mesurer !
– Non, 37, je vous dis !
– Bon écoutez, c’est comme vous voudrez. Mais si vous portez des chemises avec 37 d’encolure, vous allez avoir des rougeurs plein la figure et vous étoufferez tout le temps…