blague dévot

La condamnation du Saint

Les perles : la justice

Modèle d’hypocrisie, le faux dévot François Desrues empoisonne une mère et son fils. Quand, le 30 avril 1777, il est condamné à être roué vif et brûlé, Desrues marche vers l’échafaud avec la résignation des premiers chrétiens.

Devant le crucifix qu’on lui tend alors, il s’écrie : « Ô homme ! Je vais donc souffrir comme toi ! »

La blague des préservatifs familiaux

Une fille demande à son petit ami de venir dîner chez ses parents le vendredi soir. Comme c’est un grand événement, elle lui annonce qu’après le repas, ils sortiront en boite et puis ensuite, elle se donnera à lui pour la première fois.

Le garçon est hyper excité par cette idée, surtout qu’il n’a encore jamais fait l’amour. Comme il n’est pas con, il passe par la pharmacie acheter quelques préservatifs.

Le pharmacien est bien sympa, et pendant une heure, il explique au jeune garçon tout ce qu’il faut savoir sur le sexe et les préservatifs. A la fin, le pharmacien lui demande combien de préservatifs il désire acheter : Un paquet de 3, un paquet de 10 ou le paquet familial de 50. Le garçon, ce présomptueux, insiste pour prendre le paquet familial…

Nous voilà vendredi soir. La fille accueille son petit ami à la porte :
« Oh je suis si excitée de savoir que tu vas rencontrer mes parents. Viens rentre ! »

Le garçon entre, fait connaissance avec les parents. Puis ils passent à table. Là, le garçon insiste pour dire la prière, et le voilà qui incline la tête et se lance dans une prière incroyablement longue. Au bout de 5 minutes, sa petite amie se penche à son oreille et lui dit :
« Je ne savais pas que tu étais si dévot… »

Et le garçon lui répond en se penchant à son oreille :
« Je ne savais pas que ton père était pharmacien. »