blague décapitation
La blague du costume bleu

C’est une femme qui vient de perdre 90% de son intelligence (son mari vient de décéder). Dans la famille, il est d’usage de se faire incinérer et non pas enterrer, alors la veuve dit à l’employé des pompes funèbres de prendre contact avec le crématorium.
La veillée funèbre a lieu, tout le monde vient bénir le mort, puis vient le moment de conduire le défunt jusqu’au crématorium pour l’incinération.
Là, Madame Veuve se rend compte que son mari est habillé d’un costume noir, alors qu’il a toujours détesté le noir. Par contre, le bleu était sa couleur fétiche. Du coup, la veuve s’adresse tout de suite à l’employé du crématorium et lui dit :
– Tenez ! Voilà un chèque en blanc. Faites ce qu’il faut pour trouver un costume bleu pour mon mari. C’est extrêmement important !
Comme il n’est pas d’usage de contrarier les personnes dans le chagrin, l’employé dit qu’il va faire le nécessaire.
Un peu plus tard, pour la levée du corps, la veuve constate que l’employé est parvenu à trouver un costume bleu très joli. Elle lui dit alors toute sa joie de voir son mari dans un si beau costume et lui demande combien ce costume a coûté. L’employé répond :
– En fait, ça n’a rien coûté. Une chose amusante s’est produite : Au moment où vous êtes partie, on apportait un autre corps, de sexe masculin, de la même corpulence que votre mari, et qui portait un costume bleu. J’ai alors demandé à la veuve de cet homme si cela ne la dérangeait pas de voir son mari incinéré en costume noir plutôt qu’en costume bleu. Elle m’a répondu que cela avait peu d’importance. Alors, comme elle était d’accord, j’ai inversé les têtes…
La tête coupée dans le parc
Deux flics traversent la nuit un parc, quand tout-à-coup l’un d’eux aperçoit sur le sol une tête d’homme coupée. Il la ramasse par les cheveux, et demande à l’autre :
– Hein, dis-donc, cette tête me rappelle quelqu’un… ça serait pas par hasard Jo le maquereau ?
Et l’autre de lui répondre :
– Meuh nooon, je pense pas… Jo, il est bien plus grand !
La blague de la tête du CRS

Un C.R.S. se fait sévèrement réprimander par son chef pour ses rapports incompréhensibles, rapport à son orthographe désastreuse :
« Si vous me faites encore un rapport avec la moindre faute d’orthographe, je vous fais muter à Roubaix ! »
Le policier se jure de faire attention lors de la rédaction de ses prochains rapports.
Le lendemain, alors qu’il est en patrouille sur l’autoroute, il arrive le premier sur les lieux d’un très grave accident auto contre moto.
Après avoir constaté que les conducteurs de la moto et de la voiture sont morts, il prend son carnet et commence à noter en s’appliquant du mieux qu’il peut : « Une U-N-E, Fiat F-I-A-T, Uno U-N-O, dans le fossé F-O-S-S-É. »
« C’est bon » se dit-il. « Je ne dois pas avoir fait d’erreur sur cette phrase. »
Et il se dirige vers la moto. « Une moto de marque Honda, H-O-N-D-A dans le fossé, F-O-S-S-É. »
« Ma foi, ce n’est pas mal, » se dit le flic. Et il se dirige en confiance vers l’autre côté de la voie, où il découvre une tête décapitée.
« Une tête T-Ê-T-E sous la glissière de sécurité, G-L-I-C-I-A-I … G-L-I-S-S-I-A-I … G-L-I-C-I-È … »
Finalement, il voit bien qu’il n’y arrivera pas et POF, il donne un bon coup de pied dans la tête puis écrit : « Une tête dans le fossé, F-O-S-S-É. »
