blague Deauville

La martingale de l’accroche

Dialogue entre deux joueurs de roulette, devant le casino de Deauville :
– Moi, je te dis que si tu t’accroches à un numéro suffisamment longtemps, il finit toujours par sortir. Hier, par exemple, j’ai misé sans arrêt sur le 13…
– Et il est sorti ?
– Oui. Une minute après moi…

Le médecin immobilier

Un homme arrive chez le médecin :
– Bonjour, docteur ! Je m’inquiète pour ma santé. Je vis seul dans un pavillon de Deauville, et je me sens très mal. J’ai perdu vingt kilos. J’ai de la fièvre en permanence et je peine à me déplacer. Est-ce que c’est grave ?

Sans répondre, le docteur décroche son téléphone :
– Un instant, je vous prie… Philippe ? C’est Patrick. Tu cherches toujours une maison à Deauville ?

La blague de l’âge de la roulette

blague casino, blague roulette, blague âge, blague page des femmes, blague évanouissement, blague Deauville, blague illustrée

Une jeune femme est en pleine mauvaise passe à la table de roulette du casino de Deauville. Elle a déjà perdu 500 euros, et il ne lui reste plus que 50 euros en jetons. Au comble de l’exaspération, elle s’exclame :
– Quelle déveine, vraiment ! Je me demande bien ce que je dois faire pour avoir une chance de gagner ?

Un jeune homme qui se trouvait derrière elle tente de la calmer et il lui suggère ceci :
– Et si vous jouiez votre âge ?

Puis le gars s’en va. Un peu plus tard, son attention est captée par une grande agitation autour de la table de roulette. Peut-être a-t-elle gagné se dit-il… Il se joint à l’attroupement, fend la foule pour voir ce qui se passe et constate finalement que la jeune femme est couchée inconsciente sur le sol. Il demande ce qui s’est passé au croupier qui lui répond :
– Alors là, je n’y comprends rien du tout : elle a mis tout ce qui lui restait sur le 29, et puis le 36 est sorti, et là, elle s’est évanouie !

Le prix de la pluie

C’est le jeune yéhudi qui passe ses vacances de Noël à Deauville. Il écrit à sa mère restée en Israël :
« Ici, il pleut tous les jours ! »

Un peu plus tard, sa mère lui répond par courrier :
« Reviens. Ici il pleut aussi mais la pluie est beaucoup moins chère ! »