blague cyclisme

L’embauche corrompue

Les perles : la justice

Willy Voet, le soigneur de l’équipe Festina, mis en cause pour dopage, préfère tourner autour du pot belge de l’EPO, lors du procès Festina, devant le tribunal correctionnel de Lille : « Chez nous, on ne dit pas corrompre, monsieur le président. On dit qu’on s’est fait embaucher… » Cela fait forcément plus sérieux.

Tricheur à l’insu de son plein gré

Les perles : la justice

« Je n’ai jamais été un tricheur. J’ai fait mon premier Tour de France avec RMO en 1992 à l’eau claire. Et j’ai pris le maillot jaune, le maillot vert et le maillot à pois », affirme le coureur varois Richard Virenque devant le tribunal lillois, le 24 octobre 2000, quelques instants avant de reconnaître qu’il s’est dopé… Ou plutôt de lui préférer l’ordre de la périphrase : « Dans le vélo, on ne dit pas dopage. Il y a un médecin pour s’occuper de votre préparation. Se doper, c’est être positif. »

Quelques jours plus tard, à la fin de l’audience, s’adressant le plus sérieusement du monde à son ex-soigneur, Virenque lâchera, caustique : « J’ai un peu mal au cul. Tu peux pas me masser ? »

L’hôtel du Tour de France

Un jardinier d’un grand hôtel découvre que ses rosiers font plus de dix mètres de haut. Il découvre également des tomates de 20 centimètres de diamètre, des melons de dix kilos…

Il appelle le directeur et lui dit :
– Moi, je veux bien que l’hôtel héberge le Tour de France, mais dites aux coureurs d’arrêter de pisser dans le jardin…