blague curé

Le curé qui ne dormait pas

Le curé explique au médecin de son village :
– Je souffre d’insomnie. Le soir, je ne parviens pas à m’endormir.
– Vous allez vous acheter un enregistreur, conseille le docteur. Dès que vous aurez dîné, vous vous mettrez au lit et vous vous passerez dessus…
– Des berceuses ?
– Non. Vos sermons.

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La blague du curé chasseur

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Comme chaque année, le vicomte organise une chasse sur ses terres mais cette année il a invité le curé. Fusil sous le bras, le brave ecclésiastique chemine dans la forêt accompagné de la vicomtesse, une fervente bigote, lorsque soudain un lièvre surgit devant eux. Le curé épaule, tire et rate l’animal.
– Nom de Dieu ! crie le curé. Raté !

La vicomtesse le dévisage, interloquée, mais ne dit rien. Un peu plus loin, c’est un faisan qui jaillit d’un buisson sous leurs yeux. A nouveau le curé tire et rate.
– Bordel ! hurle-t-il. Encore raté ! Je tire comme un vrai con !


Cette fois la vicomtesse intervient :
– Excusez-moi, mon père, mais comment osez-vous sacrer comme un païen ? Ne craignez-vous pas les foudres du ciel ?
 – Vous avez raison, ma fille, dit l’homme de Dieu. C’est l’excitation de la chasse. Je vais faire attention.

Hélas, lorsqu’à nouveau une proie lui échappe, le prêtre jette son fusil à terre et s’écrie :
– Ah, putain de bordel, de nom de Dieu de saloperie de fusil à la con !

À cet instant, le ciel se couvre soudainement de gros nuages noirs et un éclair illumine la forêt. La foudre frappe et calcine… la vicomtesse, sous les yeux effarés du curé. A ce moment, une voix formidable gronde dans le firmament :
– Bordel de merde, de nom de moi, de saloperie de foudre ! Raté !

La possession maritale

Un homme se rend à l’église et demande au curé :
– Mon père, tous les jours j’entends une voix qui me dit ce que je dois faire. Pensez-vous que je suis possédé ?
– Non mon fils… Tu es marié !

Le curé et l’âne maltraité

– Supposez, dit le curé aux enfants du catéchisme, que j’intervienne en faveur d’un âne que maltraitait un paysan. A quel précepte divin aurais-je obéi ?

Un garçon lève la main :
– Tu aimeras ton prochain comme toi-même.