blague cuisinier

Cuisinier et cuisinière

Les perles : les assurances

« Un accident est arrivé hier dans la cuisine du restaurant : le cuisinier est tombé sur la cuisinière. La cuisinière n’a rien mais le cuisinier souffre de graves brûlures. Je vous envoie la note. »

La cuisine multi-étoilée

Le chef-cuisinier d’un restaurant à trois étoiles est interrogé par un reporter de la télévision :
– Etes-vous parfois saisi d’angoisse ?
– Tous les jours.
– Quand vous craignez de rater votre meilleure recette ?
– Non, pas du tout. Par contre quand je rentre chez moi sur le coup de trois heures du matin, je me demande ce que ma femme a bien pu ouvrir comme boîte de conserve pour mon dîner.

Les blessures du cuisinier

Un restaurateur a mis une petite annonce pour trouver un cuisinier. Le premier candidat qui se présente se dépeint en ces termes, après avoir effectué un essai :
– Je suis un sous-officier en retraite. J’ai cuisiné, pendant vingt ans, dans un mess d’officiers et j’ai été blessé trois fois.

Le restaurateur goûte le plat qu’a préparé l’ancien « cuistot » et il conclut, avec une mine dégoûtée :
– Vous avez de la chance qu’ils vous aient seulement blessé…

Les deux tranches de rôti

Dans un restaurant, un client appelle le garçon et lui dit :
– Excusez-moi, je suis un habitué de la maison et le cuisinier me donne toujours deux tranches de rôti.
– Je vais voir ça, monsieur.

Le garçon revient au bout d’un instant et dit :
– Le cuisinier vous présente ses excuses : il avait oublié de couper votre tranche en deux.

La blague des cowboys stoïques

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Un groupe de cow-boys est sur le point de partir en expédition dans les montagnes rocheuses. Puisque personne n’a de fonction bien précise, ils décident que chaque soir, la même personne fera à manger jusqu’à ce que quelqu’un se plaigne et le premier qui se plaint prendra le relais. Le premier soir, le cuistot est tiré au sort. Il prépare le repas et à la fin, demande aux autres :
– Alors comment c’était ?
– Mmmm, pas mauvais. On peut pas se plaindre.

Le gars est content d’entendre ça. Le soir suivant, à la fin de repas, le cuistot demande :
– Alors les gars, c’était bon ?
– Bien, bien. On peut pas se plaindre.

Et ça dure comme ça pendant plusieurs semaines. Petit à petit, le cuistot désigné commence à en avoir marre de préparer la bouffe, mais pas de bol : tout le monde aime ce qu’il prépare. Alors un soir, avant de préparer le repas, il va sur la prairie et ramasse quelques bouses de bisons séchées, les délite dans la marmite ajoute de l’eau et fait bouillir le tout. Et après avoir servi ses potes il leur demande :
– Alors les gars, c’est bon ?

Et les autres lui répondent :
– Ben, ça sent un peu la merde… Mais on peut pas se plaindre…