blague crédit

En France aussi nous le pouvons !

Avec Pablo Iglesias, indignons-nous contre le pouvoir financier
27 mai 2015 – En France aussi nous le pouvons !

Prenons les choses en main : Auto-financement, collaboration entre citoyens, transparence, non à l’austérité, pas de crédit avec les banques. Indignés ! En France aussi nous le pouvons ! Et en mettant le FN dehors ! Dénonçons la mainmise des banques sur l’économie et la démocratie qui ne nous représente pas !
(Caricature Pablo Iglesias – Dessin du 27 mai 2015)

Jusqu’à la fin de votre vie

Une banlieusarde raconte :
– Notre banquier nous avait vivement incités, mon mari et moi, à acheter une maison en nous disant : « Ainsi, vous aurez quelque chose qui durera jusqu’à la fin de votre vie ».
– Et ce n’était pas vrai ?
– Ce qu’il avait omis de nous préciser, c’est qu’il parlait des traites.

Le crédit du repas

– Samedi prochain, raconte une dame à une amie, mon mari s’est décidé à fêter notre cinquième anniversaire de mariage en m’emmenant déjeuner à la Tour d’Argent. Il ne se doute pas ce que ça va lui faire mal. Cela fait deux mois que je suis un régime très strict, en prévision de ce beau jour. Ce qui fait que, là, pour un seul repas, j’ai un crédit d’au moins 5 000 calories.

La prostitution de Paris vs la prostitution du Sud

Un gars du Sud monte à Paris. Il se ballade dans les rues sans savoir où il va. Au cours de sa ballade, il se retrouve par hasard rue St Denis. Là, une personne du beau sexe, légèrement vêtue pour la saison, l’accoste et lui dit :
– Alors mon tout beau, on fait l’amour ?

Pas follement emballé, il répond tout de même :
– Euh, ça peut s’envisager. Mais je ne pense pas qu’ici on puisse me faire ce qu’on me fait chez moi.
– Il n’y a pas de problème avec moi. Je suis une véritable pro. Tu ne seras pas déçu.
– Oui peut-être. Mais je ne pense pas que tu puisses me faire ce qu’on me fait chez moi.
– Je n’ai aucun interdit. Je suis une très bonne spécialiste. Tu risques même d’être surpris.
– Euh certainement, mais je ne pense pas que tu puisses me faire ce qu’on me fait chez moi.
– Ah oui… Et qu’est-ce qu’on te fait chez toi de si fabuleux ?
– Crédit.