blague courrier

La blague de la déclaration juridique d’amour

Voici une déclaration d’amour écrite par un cadre juridique à sa petite amie.

Très chère Juliette,

Je suis très heureux de vous informer que je suis tombé amoureux de vous depuis le 21 Juillet (Lundi). En ce qui concerne la réunion qui s’est tenue entre nous le 13 juillet à 15h00, elle a montré que vous possédiez un potentiel émotionnel intéressant que j’aimerai exploiter. C’est pourquoi dès à présent, je voudrais me présenter comme votre amoureux éventuel.

Notre liaison amoureuse se ferait à l’essai sur une durée de trois mois et selon compatibilité, serait prorogée de façon permanente.

Bien sûr, jusqu’à l’achèvement de la période d’essai, il y aura un contrôle permanent et continu sur la formation maritale ainsi que des évaluations de performance visant à s’assurer qu’une promotion de l’état de petite-amie à celui de conjointe est possible.

Les dépenses encourues pour les sorties et le divertissement seraient initialement partagés à part égales entre nous. Plus tard, en me basant sur les résultats de votre évaluation de performances, je pourrais prendre une plus grande part des dépenses. Cependant je suis assez large d’esprit pour tolérer que vous preniez certaines dépenses entièrement à votre charge.

Je vous demande de donner une suite favorable dans les 30 jours à réception de cette lettre, faute de quoi, cette offre serait annulée sans nouvel avis et je considérerai la possibilité de trouver quelqu’un d’autre.

Je serais heureux si vous pouviez transmettre cette lettre à votre sœur, pour le cas où vous ne souhaiteriez pas bénéficier de cette offre.

Dans cette attente, veuillez agréer l’expression de mes sentiments les plus distingués,

Roméo.

L’appartement sexuel

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Mademoiselle BEAUNICHON
Villa Conflaire
69, rue de l’Entrecuisse
AISNE

Cher Monsieur,

Ayant appris que vous étiez à la recherche d’un logement, j’ai le plaisir de vous informer que j’ai à votre disposition un joli appartement sur le devant, qui me vient de ma mère, du gazon aux deux bords de l’entrée principale qui était autrefois très étroite mais elle a été agrandie avec beaucoup de peine par le premier locataire.

Quelques-uns ont trouvé le logement humide, mais ils n’ont pas été incommodés pour cela, la température qui y règne en toutes saisons est appréciable. Le seul inconvénient est le voisinage d’une famille d’anglais qui viennent tous les mois quelques jours.

Il y a aussi une petite entrée sur le derrière, dissimulée par deux replis de terrain, je veille cependant à ce que personne n’y entre. J’ai été dans l’obligation de donner congé à un locataire qui s’obstinait à pénétrer de ce côté que je réservais pour les besoins personnels.

Plusieurs fois des offres me sont parvenues, mais je n’aime pas les gens de passage. Ils se retirent sans précaution et on s’aperçoit qu’ils ont causé des dégâts. Je désire trouver un locataire expérimenté en jardinage, sachant bien arroser le gazon et tenir ma propriété en état de jouissance.

Le gaz est installé derrière, et l’eau sur le devant. Le bouton électrique, très sensible, est placé à l’entrée.

Persuadée que vous serez satisfait, je suis à votre entière disposition pour vous faire visiter et je vous assure mon entier dévouement.

Mlle Beaunichon

Le courrier de la blonde

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Lettre à mon fils de ta maman blonde…

Cher fils,

Je t’écris ces lignes pour que tu saches que je t’écris. Alors, si tu reçois cette lettre, c’est qu’elle est bien arrivée. Si tu ne la reçois pas, tu me préviens pour que je te la renvoie. Je t’écris lentement parce que je sais que tu ne lis pas très vite.

L’autre jour, ton père a lu que selon les enquêtes la plupart des accidents arrivent à 1 km de la maison, ainsi nous nous sommes décidés à déménager plus loin. La maison est superbe ; elle a une machine à laver, mais je ne suis pas sûre qu’elle fonctionne. Hier, j’ai mis le linge dedans, j’ai tiré la chasse et je n’ai plus vu le linge depuis, mais bon. Le temps ici n’est pas trop mauvais. La semaine dernière il a plu seulement deux fois. La première fois, la pluie a duré 3 jours, la deuxième 4.

A propos de la veste que tu voulais, ton oncle Pierre m’a dit que si nous te l’envoyions avec les boutons, comme ils sont lourds, ça coûterait plus cher ; alors, nous avons enlevé les boutons et les avons mis dans la poche.

Je te raconte que l’autre jour, il y a eu une explosion à gaz dans la cuisine, et ton père et moi sommes sortis propulsés dans l’air au dehors de la maison ; quelle émotion ! C’est la première fois que ton père et moi sortons ensemble depuis des années.

Le médecin est venu à la maison pour voir si nous étions bien et il m’a mis un tube en verre dans la bouche. Il m’a dit de me taire pendant 10 minutes, ton père lui a proposé de lui racheter le tube.

Et puisqu’on parle de ton père, je t’annonce qu’il a du travail, il en est fier, il travaille au-dessus d’à peu près 500 personnes. Il l’ont pris pour couper le gazon dans le cimetière.

Ta sœur Julie, celle qui s’est mariée avec son mari, elle a enfin mis au monde, mais on ne sait pas encore le sexe, je ne saurais pas te dire si tu es oncle ou tante.

Ton père a demandé à ta sœur Lucie si elle est enceinte, elle lui a dit que oui, de 5 mois déjà ; mais là, ton père a demandé si elle était sûre qu’il était d’elle. Lucie lui a dit que oui. Quelle fille solide, quelle fierté, tel père telle fille.

Ton cousin Paul s’est marié et il prie tous les jours devant sa femme, parce qu’elle est vierge.

Par contre, on n’a plus revu l’oncle Isidore, celui qui est mort l’année dernière.

Ton chien Pouky nous inquiète, il continue à poursuivre les voitures à l’arrêt.

Mais ton frère Jeannot, c’est pire. Il a fermé la voiture et il a laissé les clefs à l’intérieur. Il a dû aller chez lui chercher le double pour pouvoir nous sortir tous de là.

Bon, mon fils, je ne t’écris pas l’adresse sur la lettre, je ne la connais pas. En fait, la dernière famille qui a habité ici est partie avec les numéros pour les remettre dans leur nouveau domicile.

Si tu vois Marguerite, passe-lui le bonjour. Si tu ne la vois pas, ne lui dis rien.

Ta mère qui t’adore

Loana

P.S. : J’allais te mettre quelques sous, mais j’ai déjà fermé l’enveloppe