blague coupe de cheveux

La visite chez le coiffeur

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La visite chez le coiffeur – version femmes

– Oh ! Tu as une nouvelle coupe de cheveux ! C’est TROP RAVISSANT !
– Tu crois ? Je n’en étais pas très sure, quand je me suis vue dans le miroir. Je veux dire, tu ne trouves pas que ça ne fait pas trop ébouriffé ?
– Oh mon Dieu non ! C’est parfait. J’aimerais me faire coiffer exactement comme cela, mais je crains que mon visage ne soit trop large. Je suis coincée, avec une tête comme la mienne…
– Tu rigoles, ou quoi ? Je trouve ton visage tout simplement adorable ! Et tu pourrais facilement te faire faire une coupe avec la nuque en degradé sans problème, ça serait très mignon, je crois. En fait, c’est ce que je voulais, mais j’ai eu peur que cela accentue mon cou trop long.
– Oh ! C’est trop drôle ! Moi, j’adorerais avoir un cou comme le tien ! Je ferais n’importe quoi pour détourner l’attention de mes épaules en porte-manteau…
– N’importe quoi ! Je connais des tas de filles qui seraient très heureuses d’avoir tes épaules. Tout ce que tu portes tombe impeccablement. Je veux dire, tu vois mes bras ? Tu vois comme ils sont courts ? Si j’avais tes épaules, je pourrais trouver plus facilement des fringues qui m’iraient !

La visite chez le coiffeur – version hommes

– Tiens ? T’es allé chez le coiffeur ?
– Ouais.

Se faire coiffer par son épouse

– Que se passe-t-il ? S’inquiète un coiffeur, en voyant pénétrer dans sa boutique un homme avec les cheveux dans un état épouvantable : des mèches partant dans tous les sens, des échelles, des endroits entièrement rasés… Ma parole, vous étiez dans le coup de l’attaque de la diligence ?
– Ne m’en parlez pas, gémit le malheureux, d’un air accablé. C’est ma femme qui a voulu faire des économies. Hier soir, elle me dit : « Assieds-toi, chéri. Prends un magazine. Bouquine tranquillement, je vais te couper les cheveux comme ils l’ont expliqué à la radio. ». Bon bougre, j’obéis. Je me plonge dans Paris Match. Pendant ce temps-là, ma femme coupait, taillait, tondait… Je ne me méfiais pas du tout. Jusqu’au moment où, sans arrêter de manœuvrer ses instruments, elle m’a dit : « Ne tourne pas la page, chéri. Je n’ai pas tout à fait fini de lire cet article. »