blague contremaître
L’embauche du contremaître
Une entreprise recherche un contremaître pour surveiller le travail des employés. Il lui faut un type vicieux, retors, qui ait l’œil à tout.
Quatre candidats ont répondu à l’annonce, et le directeur du personnel leur confie à chacun une enveloppe en leur disant :
– Vous allez être reçus par le directeur général, au quatrième. Vous lui remettrez cette enveloppe.
Les trois premiers candidats prennent leur enveloppe, montent au quatrième et quittent l’usine sans avoir été embauchés.
Le quatrième prend à son tour son enveloppe, monte l’escalier mais s’arrête entre deux étages pour ouvrir l’enveloppe et lire ce qu’il y a à l’intérieur :
« Vous êtes le genre de type qu’il nous faut. Le directeur vous attend en fait au rez-de-chaussée ».
À la fortune du pot
Un contremaître dépose un peintre fraîchement embauché sur le chantier où il doit commencer une grande façade devant laquelle un échafaudage a été placé la veille. Soigneusement, car le nouveau n’a pas l’air très malin, il lui explique comment bien se servir du rouleau, prendre la peinture, étaler sur le mur… et finit par le laisser, pas trop convaincu, car il a d’autres sites à visiter.
Une demi-heure plus tard, il repasse devant le chantier et voit une belle surface déjà traitée au bas du mur. Rassuré, le voilà reparti pour un couple d’heures, mais lorsqu’il revient, c’est la catastrophe, en deux heures, la surface peinte n’a pas progressé davantage que lors de la première demi-heure.
– Eh bien, qu’est qui se passe, ça n’avance pas, et pourtant tu avais bien démarré ?
– C’était vrai, répond le nouvel ouvrier, mais au début, le pot était juste à côté, maintenant je dois aller de plus en plus loin pour recharger mon rouleau !