blague confession

La blague de la sainte

Une jeune fille va se marier et comme elle est d’une famille très croyante et pratiquante, elle va se confesser :
– Alors parlez-moi de votre vie de jeune fille, avant de rentrer dans votre vie de femme, si je puis me permettre, dit le curé.
– Eh bien, écoutez mon père, je fais ma prière tous les matins et tous les soirs !
– Oh, c’est très bien, mon enfant, c’est très très bien !
– Je vais à la messe et aux vêpres tous les dimanches !
– Oh ! Ça c’est fort bien, mon enfant !
– Et puis mon père, je n’ai jamais rien volé à personne !
– Oh, ça c’est encore mieux !
– Mon père, je n’ai jamais dit du mal des autres !
– Mais, ma fille, dit le curé, c’est merveilleux, vous vivez en sainte !
– Oh, là, là oui : depuis six mois !

Cocu confessionnel

Alors qu’il est en pleine séance de confession, le curé sort de son confessionnal comme une tornade et court vers l’autel ou le bedeau est en train de faire le ménage :
– Tu ne croiras jamais ce que je viens d’apprendre, lui dit-il, ta femme nous trompe !

La blague de la confession

Une jeune fille se confesse à son curé. Elle lui dit :
– J’étais avec mon petit ami dans ma chambre, et puis il m’a prise par le cou.
– Ah bon, fait le curé, et après ?
– Il m’a mis la main sur les genoux.
– Ah bon, et ensuite ?
– Et puis il m’a retroussé ma jupe.
– Ah bon ?
– Et puis il m’a mis la main sur la cuisse.
– Et puis ?
– Et puis il a commencé à remonter sa main.
– Et puis ?
– Et puis maman est rentrée.
– Ah merde ! fait le curé.

La vieille infidélité

Une vieille paysanne va se confesser à l’église :
– Mon père, dit-elle, je m’accuse d’avoir trompé mon mari.
– Ah bon ! Fait le curé. Et quand ça ?
– Euh… Il y a trente-deux ans…
– Trente-deux ans ? Mais ça n’a plus beaucoup d’importance, chère madame.
– C’est possible, mais ça me fait plaisir de temps en temps d’en reparler à quelqu’un…

La blague de la punition du péché

Un jeune Italien se rend dans l’église de son village pour se confesser.
– Mon père, pardonnez-moi, parce que j’ai péché. J’ai fait l’amour avec une fille.
– C’est bien toi, Antonio Filippi ?
– Oui mon père, vous m’avez reconnu.
– Et qui est cette fille avec qui tu as péché ?
– Je ne peux pas vous le dire, mon père. Elle viendra peut-être se confesser à son tour et vous le saurez.
– Était-ce Maria di Bianco ?
– Je ne peux pas le dire, mon père.
– Laura Pasini ?
– Je ne vous dirai pas son nom.
– Alors, c’était peut-être Ornella Lametta ?
– Je vous en supplie, mon père, comprenez que je ne veux pas mettre la jeune fille dans l’embarras.
– Très bien, mon fils, j’admire ta bienveillance. Malheureusement, je dois te suspendre de messes pendant deux mois. Ta foi te ramènera dans le droit chemin et tu en reviendras grandi.

Sorti de l’église, le jeune homme retrouve un camarade, qui lui demande :
– Alors, qu’est-ce qu’il t’a dit ?
– Il m’a accordé deux mois de vacances. Et il m’a donné trois nouveaux noms de filles faciles.