Un automobiliste est arrêté lors d’un contrôle de gendarmerie, à 3 heures du matin : – Bonsoir, où allez-vous ? – Je me rends à une conférence sur l’abus d’alcool et ses effets sur le corps humain, ainsi que sur le tabac et les soirées tardives… – Vraiment. Et qui donne une telle conférence à une heure pareille ? – Comme d’habitude, ça va être ma femme.
Albert Einstein faisait une tournée de conférences dans les universités américaines à bord d’une voiture toujours conduite par le même chauffeur. Ce dernier lui dit un jour : – Maître, j’ai assisté à tant de vos démonstrations et je connais tellement votre cours que je crois que je serais capable d’expliquer aux étudiants votre théorie ! – Vous me donnez une idée. Nous allons changer de rôles. Donnez-moi votre casquette et votre veste. Je vais conduire et vous tiendrez la séance aujourd’hui !
Ce qui fut dit fut fait. Le chauffeur s’installe à la chaire dans l’amphithéâtre, commence le cours jusqu’à ce qu’un étudiant zélé lui pose une question : – Maître, dans votre théorie E = MC2, que se passerait-il si on inversait la dernière partie des facteurs ? – Jeune homme, c’est tellement simple que ce n’est pas moi qui vais vous répondre mais mon chauffeur !
C’est un type qui sort d’une conférence. Il est très tard. Il décide de s’arrêter dans un hôtel. Il monte dans sa chambre et range ses affaires dans le placard.
Mais en s’appuyant contre le fond de ce dernier, il sent que ce fond bouge. Il pousse de toutes ses forces et fait pivoter la planche de bois et que découvre-t-il ? Un escalier ! Il décide de l’emprunter. Il descend pendant ce qui lui parait des heures et aboutit finalement dans une pièce ovale.
Cette pièce est vide à l’exception d’un escalier en pierre qui descend de l’autre côté. Comme il ne veut pas avoir fait ce chemin pour rien, il l’emprunte. Il descend encore longtemps, pour arriver dans une autre pièce ovale et là, que voit-il ? Un escalier ? Non, une porte avec inscrit « NE PAS OUVRIR ».
Malgré tout, il décide d’ouvrir cette dernière et tombe sur un autre escalier. Il le prend et descend, descend…
Il arrive dans une autre pièce ovale. Mais pas de porte ni d’escalier dans cette dernière, juste un puits surmonté de l’inscription « Ne pas crier CONNARD ».
Voulant se défouler, il brave l’interdiction, se penche au-dessus du puits et lance un flamboyant « CONNAAARRRRDDD. »
C’est alors qu’un bruit provient du fond du puits. Il sent que quelque chose remonte. Il se penche pour voir et aperçoit une énorme bête informe, une sorte d’alien avec sa grande gueule prête à le dévorer tout cru.
Prenant son courage à deux mains, il s’enfuit. Il remonte les escaliers à quadruple vitesse. Il referme la porte du placard. Mais la bête est toujours derrière lui et défonce cette fine porte. Il continue sa course, se réfugie dans sa voiture et démarre.
Mais il a tellement peur de ce qu’il voit dans son rétroviseur qu’il ne fait pas attention à la route et la voiture glisse sur une plaque de verglas et se retrouve au fossé.
Il sort de sa voiture, court et, trébuche sur une racine qui se trouvait par là. Etalé par terre, il sent le souffle de la bête sur son cou.
Voulant regarder la mort en face, il se retourne et fixe la bête dans les yeux.
C’est alors que cette dernière ouvre sa gueule et se penche vers lui. Alors qu’elle n’est qu’a quelques centimètres, elle lui dit : « TOI-MEME ! »
Cela se passe en Pologne, un rabbin itinérant vient faire une conférence. Il parle devant la communauté des péchés, et de ce qui attend les pécheurs dans l’au-delà. Son discours est effrayant, très imagé, et dure plusieurs heures.
Le lendemain matin, un auditeur le croise dans la rue et lui dit : – Vous savez Rabbi, votre conférence était vraiment terrible, elle m’a empêché de dormir toute la nuit. – Ah bon mais pourquoi demande le Rabbi ? – Et bien voilà, j’ai dormi pendant toute la conférence et du coup je n’ai pu dormir cette nuit…
Le maire d’une petite ville annonce à ses administrés, réunis dans la salle des fêtes : – L’un des plus grands spécialistes de la lutte contre le bruit va nous expliquer comment nous pouvons tous lutter efficacement contre ce fléau. Fort logiquement, il m’a prié de vous dire que si, à l’issue de sa conférence, vous voulez lui témoigner votre satisfaction, il vous suffira d’agiter silencieusement une main en l’air. Mais, surtout, n’ajoutez pas encore au boucan infernal qui règne sur cette planète en vous avisant de l’applaudir.