blague concessionnaire

Le test de voiture

Un client revient chez le concessionnaire pour confirmer qu’il veut bien acheter la voiture qu’il a déjà vue avec le vendeur. Ce dernier étant occupé, il propose au client d’aller l’essayer et lui confie donc les clefs. Quelques minutes plus tard, le client revient.
– Alors, cher monsieur, qu’en pensez-vous ?
– Euh… les freins sont à refaire…
– Les freins fonctionnent mal ?
– Oui, ils sont trop lâches, mais par contre l’airbag fonctionne !

La monnaie de la Rolls

Un milliardaire vient prendre livraison de sa Rolls Royce en platine. Très satisfait, il laisse au concessionnaire un énorme chèque. Ce dernier, un peu confus, s’exclame :
– C’est beaucoup trop !
– Ce n’est pas grave… Vous me rendrez la monnaie en Smart !

La blague de la blonde au volant

Ça y est, j’ai réussi l’examen de conduite ! Je peux enfin conduire ma propre voiture sans avoir à entendre les recommandations des moniteurs répétant sans cesse : « par-là, c’est un sens interdit ! », « on est à contre-sens ! », « attention à la vieille dame, freinez, freinez ! », et autres phrases du même genre. Je ne sais même pas comment j’ai fait pour supporter ça ces deux dernières années…

8 janvier :
L’autoécole a organisé une fête pour mon départ. Les moniteurs n’ont même pas fait cours. L’un d’eux a dit qu’il allait à la messe, j’ai l’impression d’en avoir vu un autre avec les larmes aux yeux et tous m’ont dit qu’ils allaient se saouler pour commémorer l’événement. J’ai trouvé cette fête très sympa et tout mais je pense que mon permis ne méritait pas une telle exagération.

12 janvier :
J’ai acheté une voiture mais malheureusement, j’ai dû la laisser chez le concessionnaire pour qu’on me remplace le pare-chocs arrière car, quand j’ai essayé de sortir, j’ai mis la marche arrière au lieu de la première. Ça doit être le manque de pratique, ça fait une semaine que je n’ai pas conduit !

14 janvier :
Ça y est, j’ai ma voiture. J’étais tellement contente en sortant du stand que j’ai décidé de faire un tour avec. Apparemment, beaucoup de gens ont eu la même idée que moi vu que j’ai été suivie par un nombre incroyable d’automobilistes qui klaxonnaient tous comme pour un mariage ! Pour ne pas avoir l’air désagréable, je suis entrée dans leur jeu et j’ai réduit ma vitesse de 10 à 5 km à l’heure… Les autres ont eu l’air de beaucoup aimer et ils ont klaxonné encore plus.

22 janvier :
Mes voisins sont super. Ils ont placé des pancartes indiquant en grosses lettres : « ATTENTION aux manœuvres » ; ils ont marqué à la peinture blanche une place bien large pour que je puisse stationner et ils ont interdit à leurs enfants de sortir quand je manœuvrais. Je pense que tout ça c’est pour ne pas me perturber ! Il y a encore des gens bons dans ce monde…

31 janvier :
Les autres conducteurs sont tout le temps en train de klaxonner et de me faire des signes. Je trouve ça sympa bien qu’un peu dangereux. J’ai vu l’un d’eux qui essayait de me dire quelque chose mais je n’ai pas trouvé le bouton qui ouvre les vitres. Pendant que je cherchais, j’ai failli percuter quelqu’un. Heureusement que j’allais à ma vitesse de croisière de 10 km/h.

10 février :
Les autres conducteurs ont des habitudes bizarres. Non seulement ils font beaucoup de signes mais en plus, ils passent leur temps à crier. Je n’entends pas ce qu’ils disent car j’ai les vitres fermées mais je crois qu’ils essaient de me donner des informations. Si je dis ça, c’est parce que j’ai l’impression d’avoir compris que l’un d’entre eux disait : « rentre chez toi ». Je trouve ça étonnant. Comment a-t-il fait pour deviner où j’allais ? Quoi qu’il en soit, quand j’aurai découvert où se trouve le bouton pour ouvrir les vitres, je vais éclaircir beaucoup de doutes !

19 février :
La ville est très mal éclairée. Aujourd’hui, j’ai fait ma première balade nocturne et j’ai dû rouler tout le temps avec les pleins phares, pour bien voir. Tous les conducteurs que j’ai croisés semblaient être d’accord avec moi puisqu’ils ont aussi allumé leurs pleins phares ; certains ont même allumé d’autres feux qu’ils avaient sur leur voiture. La seule chose que je n’ai pas compris, c’est pourquoi ils klaxonnaient. Peut-être pour faire peur à un chien ou un chat. Allez savoir !

26 février :
Aujourd’hui, j’ai eu un accident. Je me suis engagée dans un rond-point et comme il y avait beaucoup de voitures (je ne veux pas exagérer mais il devait y en avoir au moins quatre), je n’ai pas réussi à en sortir J’ai continué à tourner en restant bien près du centre en attendant une occasion. Ça m’a étourdi et j’ai fini par aller taper contre le monument au milieu du rond-point. Je crois qu’ils devraient limiter la circulation dans les ronds-points à une voiture à la fois !

3 mars :
La malchance me poursuit. Je suis allée chercher la voiture au garage et, juste quand je sortais, je me suis trompée de pédale, accélérant à fond au lieu de freiner ! J’ai heurté une voiture qui passait, abîmant tout son côté droit. Le hasard a voulu que le conducteur soit l’examinateur qui m’avait donné mon permis. Un homme bon, il n’y a aucun doute là-dessus. J’ai insisté sur le fait que c’était de ma faute mais lui, très poliment, n’arrêtait pas de répéter : « Que Dieu me pardonne, que Dieu me pardonne ! ».

La blague des pères au golf

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Trois pères sont à un départ de golf et se vantent de leur fils en attendant le quatrième, qui règle l’addition au club house.

Le premier dit :
– Mon fils est un riche entrepreneur, tellement riche qu’il a donné une maison à un ami.

Le deuxième ajoute :
– Mon fils est un riche concessionnaire, il a tellement de succès qu’il a offert une Mercedes de l’année à l’un de ses amis.

Le troisième, ne voulant pas être en plan, réplique :
– Mon fils est un riche courtier, il est si talentueux qu’il s’est permis d’offrir un portefeuille de titres à un ami.

Le quatrième père arrivant sur le fait, rejoignant ses amis au tertre de départ, se fait expliquer :
– Nous parlions justement de nos fils, comment le tien se porte-t-il ?
– Mon fils est danseur dans un bar gay…

Les trois autres hommes se regardent dans un silence gêné, lorsque le quatrième père continue :
– Je ne suis pas emballé par son travail de danseur, mais il doit être très bon. Ses trois derniers amants lui ont offert une maison, une Mercedes et un portefeuille en bourse.