blague cochon

Deux poids, deux mesures

Les femmes pensent que si une femme mariée va « voir ailleurs », c’est parce qu’elle manque d’affection à la maison.

Les femmes pensent que si un homme marié va « voir ailleurs », c’est parce que les hommes sont des cochons obnubilés par le sexe.

Quand le Round-Up laisse des traces

dessin d'actualité humoristique montrant des cochons dans un champ traité au glyphosate
16 janvier 2018 – Quand le Round-Up laisse des traces

Papa cochon : « Tu as encore été traîner dans un champ de glyphosate ? »
Enfant cochon : « Mais c’est un champ de céréales, papa… »
Papa cochon : « Ne joue pas sur les mots avec moi ! »
(Dessin du 16 janvier 2018)

Pourtant suspecté d’être cancérigène pour l’homme par l’OMS, l’Europe ne semble toujours pas décidée à interdire l’utilisation du glyphosate en agriculture… alors nous continuons à mettre du poison dans nos assiettes.

Du glyphosate, il y en a partout et il est très difficile de l’éradiquer totalement de notre alimentation : on en trouve en très grande quantité dans les céréales, les pâtes, le miel mais aussi les lentilles ou les pommes de terre. Il pollue également nos nappes phréatiques et plus de 1,9 millions de français boivent de l’eau du robinet polluée aux pesticides (source : Capital).

Pourtant, il existe des alternatives déjà engagées par de nombreux agriculteurs – souvent bio – souhaitant valoriser leur image et leurs pratiques. Mais désherber au naturel reste une douce utopie pour une grande majorité d’agriculteurs et l’usage de produits phytosanitaires reste indispensable à leur survie. Une sortie anticipée du glyphosate serait synonyme pour eux d’un surcoût de 70 euros par hectare, soit au total 950 millions d’euros pour les cultivateurs français (source : Challenges).

Et malheureusement l’absence de dialogue entre le gouvernement et les agriculteurs ne risque pas d’arranger les choses… pendant ce temps, nous pouvons continuer à remercier Monsanto qui continue à profiter de cette situation et n’a jamais autant vendu d’herbicides sur la planète.

Duf

La blague du petit cochon

Un petit garçon doit fêter son dixième anniversaire. Son papa lui propose de lui acheter un beau cadeau pour marquer l’événement. Le petit garçon réfléchit et déclare à son papa :
– Papa, je voudrais bien, pour mon anniversaire, avoir un animal.
– C’est une très bonne idée, mon garçon, mais lequel ?
– Eh bien papa, je voudrais bien un cochon…
– Un cochon !? Ça va pas la tête ? Ça pue un cochon, c’est méchant, ça mange tout ce qu’il trouve !
– Mais non, papa, un tout petit cochon, avec la queue en tire-bouchon, tout rose, tout mignon…
– Pas question !

Le gosse fait un caprice épouvantable et le père cède. L’enfant promet de s’en occuper, de le nettoyer, de lui donner à manger et tout et tout. Ils achètent un tout petit cochon rose, avec la queue en tire-bouchon, et le petit garçon déclare :
– Nous l’appellerons Gercy !

Gercy, quel drôle de nom se dit le père… En fin, si ça lui fait plaisir. Et tout se passe bien au début. Puis est advenu ce qu’il devait advenir : le gentil petit cochon devient un immonde porc qui pue. Le père décide de parler à son fiston.
– Mon petit garçon, ton cochon, il a bien vécu, il a bien mangé, il s’est bien amusé. Maintenant, il va devenir ce que deviennent les cochons : du saucisson, du jambon…
– Tu veux dire qu’on va le tuer ? Pas question !!! Je ne veux pas qu’on fasse du mal à Gercy !

Le père réfléchit et trouve un compromis :
– Ton cochon, on va le donner au zoo. Comme ça, tu pourras le voir quand tu voudras, et il aura de la compagnie, il sera bien soigné.

Le petit garçon accepte. Quelle est la morale de l’histoire ?

La morale, c’est qu’il est dangereux de se pencher aux fenêtres des trains.

Bon, vu comme ça, ça peut paraître un peu bizarre… J’explique:

E pericoloso sporgersi (Et père y colle au zoo c’porc Gersy).

L’hygiène de Toto

Toto,  11 ans prend son bain hebdomadaire. Sa mère, alertée par des bruits quelque peu suspects ouvre brusquement la porte de la salle de bains et tombe sur son rejeton en pleine séance de tirage d’élastique.

– Espèce de petit cochon ! Tu n’as rien de mieux à faire ?

Pas du tout décontenancé Toto hausse les épaules et répond :
– Ben quoi, on peut plus se laver à la vitesse qu’on veut ?