blague choix
La blague de l’enfer de l’avocat

C’est l’histoire de cet avocat qui meurt. Il arrive directement en Enfer, comme il se doit pour tout avocat qui se respecte.
Satan l’accueille par un :
– Bienvenue en Enfer. Vous êtes notre 525 000ème avocat. Comme dernière gentillesse, il vous est accordé de choisir entre trois différentes pièces dans lesquelles vous passerez l’éternité.
Et Satan fait la visite guidée à l’avocat :
– Voici la première pièce.
Et l’avocat voit par la porte qui s’entrebâille toutes les flammes de l’Enfer, et tous les damnés qui hurlent de douleur parmi ces flammes. L’avocat dit :
– Non, pas cette pièce.
Alors Satan ouvre la deuxième porte.
Et l’avocat aperçoit des milliers de damnés en train de casser des cailloux sous les coups de fouet incessants des diablotins. L’avocat dit :
– Non, pas celle-ci non plus.
Enfin, Satan ouvre la dernière porte.
Et l’avocat voit des milliers de personnes debout dans un lac de vomi avec le liquide leur montant jusqu’au menton. Avec tous les damnés qui reprennent tous en choeur « Pas de vague, surtout pas de vague ».
Alors l’avocat dit à Satan :
– Cette pièce est horrible elle aussi, mais je crois que c’est elle que je vais choisir pour l’éternité
Et Satan lui répond :
– J’ai bien noté ton vœu. Mais maintenant, je peux te le dire : Tous les week-end, les anges du Paradis descendent ici pour faire du ski nautique.
La blague des femmes de golfeurs
C’est quatre gars mariés sur un terrain de golf, un dimanche matin. On est au troisième trou et les gars papotent.
Le premier dit :
– Les gars, vous pouvez pas savoir comment ça a été dur pour que je puisse venir ici ce dimanche avec vous. J’ai même du promettre à ma femme que le week-end prochain je referai la tapisserie du salon !
Le deuxième dit :
– Ha, c’est rien ! Moi j’ai du promettre à ma femme que je lui referai tout le carrelage de sa cuisine!
A son tour, le troisième enchaîne :
– C’était encore plus dur pour moi ! J’ai du lui promettre de décaper toutes les boiseries avant de les repeindre !
Alors ils se tournent vers le quatrième qui n’avait encore rien dit jusque là et lui demandent :
– Et toi ? Ça n’a pas été trop dur pour venir nous accompagner ce week-end ?
Et il répond :
– Beuh non. Ça a été facile comme tout. Ce matin, j’ai fait sonner mon réveil à 5 heures 30. Quand il a sonné, j’ai donné un coup de coude à ma femme dans le lit et je lui ai dit « Sport en chambre ou Sport sur le green ? » et elle m’a répondu : « N’oublie pas de mettre un pull ! »