blague chien savant

Le chien violoniste

Un chien savant sait jouer du violon. Son maître, très confiant, se rend chez un imprésario. Le chien ouvre l’étui, se saisit de l’instrument avec ses pattes de devant, puis, debout sur celles de derrière, interprète remarquablement des partitions de Mozart, de Bach et enfin de Brahms.
– Alors ? demande le maître de l’animal, sûr et fier de lui.
– Ouais ! dit l’imprésario en se grattant la tête, pas très convaincu. Qui de nos jours, écoute encore de la musique classique ?

De l’argent pour mon chien

Un homme prétendait que si on donnait un peu d’argent à son chien, il allait acheter des petits pains. Un ami voulut tenter l’expérience. Une heure plus tard, l’animal n’était pas encore revenu.
– Combien lui as-tu donné ? demande le maître.
– Dix euros, répond l’ami.
– Folie ! s’exclama l’autre. Quand on lui donne autant d’argent, il va au cinéma.

La victoire du chien

Un homme est en train de jouer aux cartes avec son chien :
– C’est formidable ! lui dit un curieux. Est-ce qu’il sait jouer à d’autres jeux ?
– Oui ! répond le joueur, aux osselets ! Seulement, quand il gagne, il les mange.

Un chien vraiment savant

Un artiste vient d’être engagé par le directeur d’un cirque pour son numéro avec son chien savant. Après avoir signé le contrat, l’artiste demande :
– Pouvez-vous me prêter votre portable ?
– Bien sûr, je vous en prie… Appelez qui vous voulez !
– Ce n’est pas pour moi, c’est Médor qui veut annoncer la bonne nouvelle à sa famille !

Le chien savant

Simon ne se lasse pas de vanter dans tout le Sentier les capacités exceptionnelles de son chien.
– Il est formidable : tous les matins, il va au kiosque à journaux et me ramène Ha’Aretz en me rendant la monnaie. Il sait aussi tenir le magasin quand je vais boire le thé et je pense même l’apprendre à jouer aux échecs !
– Ton chien est formidable, lui dit Abraham, je t’en offre 500 euros !
– 500 euros ?! Mais tu es fou ! Je ne le céderai pas à moins de 5000 euros !
– Je t’en propose 2000…
– Allez, je te le laisse à 3000 et n’en parlons plus.

Et voilà le chien de Simon qui se retrouve chez Abraham. Deux semaines plus tard, Abraham croise à nouveau Simon :
– Dis moi Simon, qu’est-ce que c’est que cette arnaque ? Ton chien que tu m’as vendu à prix d’or, qui d’après toi faisait des miracles, eh bien il n’est bon qu’à manger, et dormir. Les seules fois où il veut bien se lever, c’est pour aller pisser. Alors, qu’est-ce que tu dis de ça ?
– J’en dis que si c’est comme ça que tu parles de ton chien, tu n’arriveras jamais à le revendre !