blague casquette

La blague sous influence

Un turfiste a décidé, pour une fois, d’emmener sa jeune et charmante femme blonde aux courses.
– Tiens, chérie, dit-il en lui tendant un billet de cinquante euros. Va me jouer ça sur Belle d’amour, dans la troisième.

La jeune femme se présente au guichet et annonce son pari, mais un gars avec une casquette à carreaux la prend par le bras.
– Belle d’amour ? Vous rigolez, non ? C’est un vrai tréteau, ce cheval-là… Jouez plutôt Rêve de mai, vous m’en direz des nouvelles !

La jeune femme se laisse influencer, joue Rêve de mai et rejoint son mari dans les tribunes, juste à temps pour voir Belle d’amour franchir la ligne d’arrivée en tête.
– On a gagné ! s’écrie le mari. Tu n’es pas contente ?
– Mon chéri, je dois t’avouer quelque chose, répond la jeune femme en baissant les yeux.

Et elle lui raconte ce qui s’est passé. Le mari, furieux, se contient et tend de nouveau un billet de cinquante euros à son épouse.
– Bon, c’est pas grave. Place-moi ça sur Vif-argent dans la quatrième…

Au guichet, la jeune femme retrouve le type à la casquette à carreaux.
– Vif-argent ? Vous n’y pensez pas ! C’est Flambeau qui va gagner. Vous pouvez me croire, le jockey est le frère de la cousine de ma concierge. C’est du cousu main !

La malheureuse fait une fois de plus confiance à l’homme à la casquette à carreaux et, bien sûr, c’est Vif-argent qui remporte la course.
– Quoi ? hurle le mari. Tu as encore cru cet escroc ? Mais bon sang qui est-ce qui m’a fichu une bonne femme pareille !
– Excuse-moi, chéri, dit-elle d’une petite voix. Tu veux que j’aille te chercher quelque chose à boire, pour me faire pardonner ?
– Ouais, dit le gars en se calmant. Prends-moi une bière, tiens…

Cinq minutes plus tard, la jeune femme revient avec un jus d’orange.
– Ben, et ma bière ?
– Ne te fâche pas, chéri, répond piteusement la jeune femme. J’ai encore rencontré ce type à la casquette à carreaux…

Casquette belge

Un sportif belge se rend dans un magasin pour acheter une casquette de base-ball. Il en essaie une, puis deux, puis trois, puis quatre. Au bout de trois quarts d’heure, il en est à la cinquantième.

Il se tourne alors vers le vendeur avec un air déçu :
– Vous n’en avez vraiment aucune avec la visière sur le devant ?

Dégueule de bois

Photographiée coiffée d’une casquette nazie, une candidate du RN est contrainte de se retirer entre les deux tours.
« J’ai pris une casquette ! »
(Caricature casquette nazie – Dessin du 4 juillet 2024)