blague Cantal

La maternité du Cantal

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C’est une jeune fille d’un petit hameau reculé du Cantal, pas trop futée, qui arrive un jour dans la maternité du chef-lieu pour accoucher de son premier enfant. Tout se passe bien. Un an plus tard, elle est de retour pour accoucher à nouveau. La troisième année, pareil. Comme une horloge. Et c’est comme ça tous les ans, douze années de suite. La treizième année cependant, elle ne se montre pas, et les années suivantes non plus.

Un beau jour, la sage-femme fait sa rencontre sur le marché d’Aurillac.

Elle lui demande de ses nouvelles et lui dit :
– Alors, ça y est, vous n’êtes plus enceinte ! Vous savez que ça nous a étonné de ne plus vous voir à la maternité : on s’était habitué !

Et la rurale lui répond :
– Ah ben non alors, depuis que je sais à quoi c’est dû, ça risque plus d’arriver.

Encore vierge au mariage

Un gars d’une région bien reculée française comme le Cantal amène sa fiancée chez ses parents pour la première fois.

Après un moment, le père prend son fils à l’écart pour en savoir un peu plus sur sa future belle-fille : « Oh elle est formidable papa » dit le fils. « Elle est intelligente, drôle, vraiment jolie : en fait elle est tout ce dont j’ai toujours rêvé chez une femme. Et la cerise sur le gâteau : elle est encore vierge ! »

« Alors là fils, je t’arrête. Tu devrais réfléchir encore un peu : Si elle n’est pas assez bonne pour sa propre famille, qu’est-ce qui te fait croire qu’elle sera assez bonne pour la nôtre ? »

La blague de la veuve du cantal

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Deux copains Jacques et André profitent de quelques jours de vacances pour aller faire de la randonnée dans le Cantal. Malheureusement, alors que la journée tire à sa fin, il se font prendre dans un énorme orage. Aucun abri naturel n’étant en vue, ils se dirigent vers une ferme toute proche.

Lorsqu’ils frappent à la porte, ils sont accueillis par une très jolie femme qui leur offre aussitôt l’hospitalité pour la nuit. Elle les fait entrer et explique :
– J’ai perdu mon mari le mois dernier. Je ne voudrais pas que les voisins jasent si ils apprennent que je vous héberge plus longtemps, vous comprenez ?
– Oui bien sûr, ne vous en faites pas. D’ailleurs, nous irons dormir dans l’étable et nous ferons simplement sécher nos vêtements dans votre maison.

Neuf mois après cet épisode Jacques reçoit une lettre du notaire de la veuve… Il appelle aussitôt son copain André :
– Dis-donc Dédé, tu te souviens de cette jolie veuve qui nous avait hébergés dans le Cantal lors de ce terrible orage ?
– Oui, pourquoi ?
– Est-ce que, par hasard, au cours de la nuit, tu n’aurais pas quitté l’étable où nous dormions pour aller la retrouver et faire l’amour avec elle ?
– Heu… Oui c’est vrai..
– Et est-ce que, toujours par hasard, tu n’aurais pas utilisé mon nom à la place du tien ?

André rougit et répond :
– Oui, c’est vrai. Qu’est-ce qui se passe ? Elle est tombée enceinte ? Elle te fait des misères ?
– Non non, c’est plutôt l’inverse. Elle vient de mourir accidentellement et elle m’a légué tout ce qu’elle possédait.