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Du racisme, nationalisme se cache au Salon de l’Agriculture

Marine Le Pen, du racisme au Salon de l'Agriculture
7 mars 2016 – Du racisme, nationalisme se cache au Salon de l’Agriculture

Du racisme, nationalisme se cache au Salon de l’Agriculture, sauras-tu les retrouver ? Marine Le Pen, en terrain conquis, a arpenté les allées du salon de l’Agriculture, elle a été l’objet d’un accueil bienveillant, avec quelques encouragements. Marine Le Pen, abondance de bouse au Salon de l’Agriculture…
(Caricature Marine Le Pen – Dessin du 7 mars 2016)

La bouse des dividendes

– Tu te rappelles, dit, au téléphone, une dame à son mari : l’an passé, tu avais investi 10.000 euros en actions dans une fabrique d’aliments pour bovins.
– En effet.
– Tu viens de toucher tes dividendes. Mais cette sale bête a déjà collé de la bouse plein la salle de séjour !

La blague des prunes du paysan

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C’est un brave paysan qui est en train de ramasser des fruits quand le curé du village vient à passer par là :
– Bonjour mon fils ! Alors, comment allez-vous ?
– Ben ça va ! Tantôt on est un peu débordés, parce qu’il faut ramasser les fruits avant qu’ils pourrissent par terre. Mais la récolte est bonne, alors on est contents…
– Ça, je dois dire que vos prunes sont bien belles…
– Vous en voulez une, monsieur le curé ? Vous verrez, elles sont délicieuses… Tenez, choisissez.

Le paysan lui tend deux prunes, le curé en prend une, l’avale et lui dit :
– Oh ! en effet, excellentes ! Et comme elles sont juteuses !

Là-dessus, il remarque que le paysan est en train de peler sa prune avant de la manger et le bon curé lui dit :
– Mais enfin, mon fils ! On ne pèle pas les prunes !
– Ben c’est pas pour dire, mais il y en a une des deux qu’était tombée dans la bouse et ch’ sais pas laquelle !

Les vaches à l’école

C’est une directrice d’une école laïque dans un petit village du Cantal. Et elle était drôlement furieuse parce que tous les jours, le père Eugène, pour gagner du temps, faisait traverser la cour de l’école à ses vaches. Et la cour de récréation était dans un drôle état, après leur passage…
– Je leur ai écrit plusieurs fois, à la Mairie ! Ils ne m’ont jamais répondu ! Bon, demain, s’il revient, l’Eugène va m’entendre !

Et le lendemain, comme d’habitude, le père Eugène arrive avec ses vaches.
– Allez, les petites !
– Dites donc, père Eugène, vous allez me faire le plaisir de prendre vos vaches et de faire le tour ! Maintenant c’est terminé, de traverser la cour ! Enfin, quand même, ici c’est une école !
– Eh, mais ch’peux point faire le tour, moué !
– Ah oui ? Et pourquoi ça ?
– Ch’ peux point faire le tour parce que ça me fait faire un cré bon dieu d’détour… L’école, c’est le chemin le plus court. Vous vous rendez compte, à pied, sans chien, avec un troupeau de vaches ? Mais si ch’ fais le tour, j’ me rallonge d’au moins cinq cents mètres, ma bonne dame ! Moi, ch’ peux point !
– C’est bien beau, tout ça, mais regardez-moi dans quel état vous me mettez cette cour ! C’est pas Dieu possible ! Je ne sais pas, moi ! Je veux bien que vous passiez par là, mais alors revenez nettoyer !
– Eh, c’est qu’ moué j’ n’ai point l’temps, vous comprenez…
– Ah il faut trouver un moyen, ça ne peut pas continuer comme ça ! Vos vaches, elles ne peuvent pas se retenir ?
– Ah ben vous en avez d’ bonnes, les gens d’Ia ville… Vous savez, les vaches, pouvez toujours leur expliquer : elles font ce qu’elles veulent !
– Et si vous leur mettiez un sac sous la queue ?
– Un sac sous la queue ?
– Oui, vous voyez, un genre de petite bourse : ça ferait moins de saletés !
– Ben moué, ça fait tantôt soixante-dix ans que j’en ai deux sous la queue, et c’ n’est point pour ça que j’arrive à faire dedans !