– J’ai toujours eu un principe, dit un industriel : si vous prêtez cent euros à un ami et que vous n’entendez plus jamais parler de lui, vous avez fait une bonne affaire.
Une femme très enrobée dit à une amie : – Avec moi, mon mari n’a pas fait une mauvaise affaire. A notre mariage, je pesais 42 kilos et en dix ans, j’ai doublé sa mise !
Le mari cocu se fait philosophe : « Voyez-vous, c’est parce que ma femme est jolie quelle me trompe et que j’accepte cela. Il vaut mieux être plusieurs dans une bonne affaire que tout seul dans une mauvaise. »