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Le copain de l’irlandais au fond du puit

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Paddy et Murphy, deux irlandais bon teint, se baladent dans un vieux village abandonné. Au cours de leur exploration, Paddy tombe au fond d’un puits.
– Tu vas bien Paddy ? Crie Murphy.
– Ouais, ça va, répond Paddy, mais je crois bien que j’ai les jambes et les bras cassés Murphy !
– Tu veux que j’aille chercher de l’aide, Paddy ?
– Non, Murphy, je vais réussir à grimper jusqu’en haut avec la mâchoire, dit Paddy.

Et Murphy attend son copain en haut du puits. Au bout de trois jours, toujours pas de Paddy en vue.

Murphy crie dans le puits :
– Hé Paddy, tout va bien ?
– Ouais, tout va bien. Je suis presque ArrARRRGRHHGHGHHHhhhhhghghhhghh…

Le gamin et son énorme tête

C’est un gosse qui va à l’école, mais ce jour là, il a une tête énorme.

Donc, quand il arrive à l’école, tous les autres enfants vont le voir :
– Ben dis donc, qu’est-ce qui t’es arrivé ? T’en a une tête aujourd’hui !

Le petit garçon de répondre :
– Ben c’est hier, j’était dans mon jardin, et y avait une guêpe.

Les autres gosses :
– Oh l’autre hé, c’est pas une guêpe qui t’a fait une tête pareille !
– Ben non, c’est mon père, il avait une pelle…

Les clous

Il était une fois un garçon avec un sale caractère.

Son père lui donna un sachet de clous et lui dit d’en planter un dans la barrière du jardin chaque fois qu’il perdrait patience et se disputerait avec quelqu’un.

Le premier jour il en planta 37 dans la barrière. Les semaines suivantes, il apprit à se contrôler, et le nombre de clous planté dans la barrière diminua jour après jour : il avait découvert que c’était plus facile de se contrôler que de planter des clous. Finalement, arriva un jour où le garçon ne planta aucun clou dans la barrière.

Alors il alla voir son père et il lui dit que pour ce jour il n’avait planté aucun clou. Son père lui dit alors d’enlever un clou dans la barrière pour chaque jour où il n’aurait pas perdu patience. Les jours passèrent et finalement le garçon pu dire à son père qu’il avait enlevé tous les clous de la barrière.

Le père conduisit son fils devant la barrière et lui dit :

« Mon fils, tu t’es bien comporté mais regarde tous les trous qu’il y a dans la barrière. Elle ne sera jamais comme avant. Quand tu te disputes avec quelqu’un et que tu lui dit quelque chose de méchant, tu lui laisses une blessure comme celle là. Tu peux planter un couteau dans un homme et après lui retirer, mais il restera toujours une blessure. Peu importe combien de fois tu t’excuseras, la blessure restera. Une blessure verbale fait aussi mal qu’une blessure physique. Les amis sont des bijoux rares, ils te font sourire et t’encouragent. Ils sont prêts à t’écouter quand tu en as besoin, ils te soutiennent et t’ouvrent leur cœur ».

Pour finir : « Un des bonheurs de l’amitié c’est de savoir à qui confier un secret ».

Mieux que par votre femme !

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M. Durand passe dans une gare et aperçoit une drôle de machine.

Comme une terrasse de café est juste en face, il s’assoit et observe le manège des gens. Tout d’abord, seuls des hommes se servent de cette machine.

Ensuite, après avoir glissé une pièce dans la fente, il dégrafent leur braguette et postent leur bas ventre devant une ouverture et attendent. Après quelques minutes, ils se reboutonnent et s’en vont.

N’y tenant plus, M. Durand va voir sur place, et lorsqu’il voit de près ce qui est noté sur la machine « FAITE LE FAIRE MIEUX QUE PAR VOTRE FEMME ! », il veut expérimenter la chose.

Alors il attend que personne ne le regarde, met une pièce où vous savez, dégrafe sa braguette et introduit son sexe dans l’orifice.

« HURLEMENT DE DOULEUR »… Et il ressort avec un bouton de braguette cousu au bout du gland.