– Non, dit une adolescente à la vendeuse d’un grand magasin, ça ne convient pas, cet attaché-case en box, comme cadeau pour la fête des pères. Montrez-moi quelque chose de plus cher. D’une part, mon père mérite bien que je fasse un effort pour lui faire plaisir. Et, d’autre part, pour payer, je lui ai discrètement emprunté sa carte de crédit.
Une commerciale de chez Manix se retrouve à Roissy pour prendre l’avion. En effet, elle doit participer à un congrès international sur les moyens de contraception.
Alors qu’elle se dépêche dans l’aéroport, elle percute un autre voyageur et sous le choc, le contenu de son attaché-case se répand par terre, libérant une centaine de préservatifs multicolores sur le sol.
Après s’être excusée, elle se met à ramasser les préservatifs, mais elle ne peut s’empêcher de remarquer la curiosité amusée de l’autre voyageur…
Pour couper court à toute insinuation graveleuse, elle lui dit :
« Ne vous inquiétez pas, c’est pour aller à un congrès… »
Une jeune mariée confie ses tourments à sa mère :
– Mon mari est très distrait. Hier, après avoir déjeuné à la maison, il m’a laissé cinq euros de pourboire. Et il m’a encore donné deux euros quand je lui ai tendu son attaché-case.
– Ce n’est rien. Simplement l’habitude de manger au restaurant.
– Bien sûr, maman. Mais ce qui m’inquiète, c’est la façon dont il m’a embrassée pendant que je l’aidais à enfiler son pardessus.
Sur le coup de midi, deux avocats descendent déjeuner dans un bar-restaurant en face du palais de justice.
Ils s’installent en terrasse et commandent à boire, puis chacun d’eux sort un sandwich de son attaché case et ils se mettent à manger. Le patron du bar rapplique aussitôt et leur dit :
– Pardon messieurs, mais il interdit de manger ses propres sandwichs ici !
Alors les deux avocats se regardent, sourient, et s’échangent leurs sandwichs…
