blague associés
Les avocats et la chose sexuelle
L’associé majoritaire d’un grand cabinet d’avocats d’affaires déambule dans son bureau climatisé de 120 m². Il s’ennuie. Après avoir consulté ses mails, il décide d’aller voir son principal associé (lui-même plongé dans une partie de Tetris en réseau). Une fois dans le bureau, il lui dit :
– Écoute, j’ai une terrible préoccupation à propos de mon épouse (l’héritière grâce à laquelle son cabinet possède ses clients). Je me demande si le fait de lui faire l’amour est une question de travail, ou est-ce juste une question de plaisir ?
Son associé embarrassé, lui répond sans trop se mouiller :
– Franchement, je n’en ai aucune idée…
– Tu as une heure pour me donner la réponse, ordonne le big boss.
L’associé court voir le manager qui lisait le journal tranquillement dans son bureau et lui pose le problème :
– Une question, si mon associé se tape sa femme, à ton avis, c’est une affaire de travail ou c’est juste pour le plaisir ?
– Alors là, j’en sais rien, lui répond-t-il.
– Tu as 55 minutes pour me répondre !
Le manager va voir son collaborateur senior, en pause :
– Si le big boss saute sa chérie, c’est du travail ou du plaisir ?
– Franchement je ne peux pas te répondre.
– T’as 45 minutes !
Celui-ci va voir son collaborateur junior.
– Si le vieux baise sa meuf, c’est du taf ou c’est juste pour le fun ?
– J’en sais rien.
– 20 minutes !
Le collaborateur junior va donc voir un de ses stagiaires, complètement débordé par le travail :
– Oh ! le stagiaire ! Une question ?
– Pas maintenant, j’ai du travail par-dessus la tête, j’ai pas le temps, j’ai plein de trucs à faire.
– C’est super urgent ! Il faut que tu répondes.
– Vas-y ! C’est quoi ? demande le stagiaire.
– Si le big boss fait l’amour à sa maîtresse, c’est du boulot ou du plaisir ?
– Arrête, trop facile, c’est du plaisir ! affirme le stagiaire.
– Attends ! Mais comment tu peux le savoir aussi vite ?
Le stagiaire répond, indigné :
– Dans ce cabinet, si jamais c’était du boulot, c’est moi qui serais en train de me la taper !
La femme de mon associé
Pierre et Roger sont associés. Pierre mange chez son associé car sa femme est partie rendre visite à sa mère. (Roger n’est pas encore rentré).
– Eh bien ! Quel repas ! Je savais que mon associé avait une femme ravissante, mais il m’avait caché qu’elle était aussi une excellente cuisinière…
– Pierre, je pense que je ferais mieux de te prévenir, Roger sera là dans une heure, minaude la femme de l’associé.
– Mais… je ne fais rien, proteste Pierre.
– Je sais, dit elle en soupirant, je voulais juste que tu saches de combien de temps tu disposais.