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Les étudiantes devant la statue du Penseur de Rodin

Deux étudiantes sont en visite au Musée Rodin. Elles arrivent devant la statue du Penseur :
– Oh ! S’écrie l’une d’elles, ça me rappelle tout à fait ce grand timide d’Olivier le jour où, l’ayant enfin décidé à venir boire un verre dans mon appartement et alors que je m’étais couchée sur le lit, juste vêtue de mes bas et de mes chaussures à talons, il a passé une demi-heure à se demander s’il prendrait plutôt un Martini ou un scotch.

La modèle de l’artiste peintre

Un artiste peintre dit à la belle fille qui lui sert de modèle :
– Pour préserver votre pudeur, j’ai accepté qu’au cours de vos douze précédentes séances de pose, vous ne vous mettiez pas entièrement nue. Au point où j’en suis, j’ai même tenté de prendre comme sujet d’inspiration une brosse à cheveux mais, malgré toute ma bonne volonté, je n’y arrive pas. Alors, le moment est venu : ne discutez pas plus longtemps et ôtez-moi cette culotte.

La blonde représentante de l’école de peinture

Une superbe blonde sonne à la porte d’un pavillon de banlieue. En voyant que c’est un homme qui lui ouvre la porte, elle ôte rapidement son imperméable, sous lequel elle est nue, et lui dit, tandis qu’il la contemple avec des yeux écarquillés :
– Je représente l’Ecole Mic et Lange, qui cherche à découvrir des talents cachés. Si vous vous inscrivez à notre cours par correspondance pour un an, je vous donne immédiatement les quatre primes auxquelles vous avez droit : une palette, un lot de vingt tubes de peinture, un pinceau et moi, pour vous servir de modèle pour vos premières esquisses.

Les années de pauvreté du peintre

Dans un musée, un visiteur s’écrie :
– Manifestement, ce peintre a connu des années de grande pauvreté.
– Qu’est-ce qui vous fait penser cela ?
– Regardez les sujets de toutes ses œuvres de jeunesse : un trognon de pomme, une pelure de banane, une arête de hareng, un os sans moëlle…