blague arrosoir

Les fleurs du fou

Dans un hôpital psychiatrique, un pensionnaire se livre à quelques travaux de jardinage. Le directeur l’interroge :
– Qu’est-ce que vous faites ?
– Vous le voyez bien, j’arrose les fleurs.
– Mais ce sont des fleurs artificielles !
– Je sais. C’est pourquoi mon arrosoir n’a pas de fond.

La revanche du mari à plumes

En visite chez une amie, une dame s’étonne :
– Mais que fait votre mari, la tête couverte de plumes, à chanter en tournant en rond dans le jardin ?
– Oh ! C’est un vieux truc qu’il a rapporté d’Amérique où nous avions visite une réserve d’Indiens. Car il est tellement paresseux qu’il préfère faire la danse de la pluie pendant une heure que de transporter les arrosoirs au fond du jardin.

L’assurance prothèse

Un homme avec une prothèse de jambe synthétique se décide à contracter une assurance-incendie pour sa prothèse.

Le premier agent d’assurances contacté lui propose une prime annuelle de 500 euros, estimant que le pied pouvait brûler une fois en 20 ans et que la valeur de la prothèse est de 10 000 euros.

Le deuxième agent lui propose une prime annuelle de 50 euros. Lorsque l’homme demande au deuxième agent comment il est parvenu à un si petit montant, il répond :
« J’ai appliqué le barème proposé dans mes abaques… L’objet est bien une structure synthétique avec présence d’un système d’arrosage par le haut, n’est-ce pas ? »

Le baptême sans pleurs ni cris

Dans une église, un bébé vient d’être baptisé. Le curé s’approche de la maman :
– C’est la première fois que je baptise un enfant qui n’a ni pleuré ni crié.

Elle lui répond :
– C’est que nous l’entraînons depuis huit jours chez nous.
– Mais comment ? Demande le curé.
– Avec un arrosoir !