Le salaire d’Alphonse Allais

On raconte qu’Alphonse Allais se présenta, un jour, au caissier d’un journal qu’il fournissait en copie :
– Je viens toucher mon appointement.
– Excusez-moi, mais on dit : « mes appointements ».
– Bah ! Inutile de déranger le pluriel pour si peu !