Un couple visite un logement neuf à vendre. – Oh ! S’écrie la femme, ravie, regarde, chéri, de chaque côté du couloir, ils ont même prévu de grands placards à balais. – Madame, proteste le promoteur, vous faites erreur : ce que vous appelez un couloir, c’est la salle de séjour. Quant aux prétendus placards à balais, ce sont les chambres d’enfants.
Simon a emmené ses enfants se baigner sur la plage de Deauville quand soudain, la petite Rachel disparaît dans les vagues. Affolé car ne sachant pas nager, Simon invoque aussitôt la grâce divine : il promet à Dieu de vendre son appartement de Deauville et d’offrir au temple le produit de la vente si la petite Rachel s’en sort saine et sauve.
Par miracle, Rachel refait surface et s’accroche à une bouée qui flottait.
La semaine qui suit, Simon s’en va voir son agent immobilier et il lui dit qu’il aimerait vendre son appartement. – Quelle somme en demandez-vous ? S’informe l’agent. – Oh pas cher, disons 3000 euros… – Quoi ? 3000 euros pour un 100 mètres carrés sur le front de mer ? Mais vous êtes tombé sur la tête ? – Ah mais attention : je le vends en lot avec les meubles, et pour les meubles, le prix, c’est 300 000 euros.
Deux jeunes mariés visitent un immeuble à vendre par appartement : – L’ensemble est bien, dit le mari au vendeur, chargé de les piloter, mais un détail nous chiffonne un peu. Les murs nous semblent manquer d’épaisseur. – Attendez, répond joyeusement leur guide, on va faire une expérience. Je passe dans l’appartement voisin. Est-ce que vous m’entendez ? – Comme si vous étiez avec nous. – Ah ! Et, est-ce que vous me voyez ? – Heu… non. – Alors, c’est la preuve que les murs ne sont pas si minces que ça !
Un couple qui est venu visiter un appartement s’apprête à repartir. – Mon patron, dit le jeune homme qui les a pilotés, va m’arracher les yeux si je rentre au bureau sans avoir fait une vente. Soyez chics. Que diriez-vous d’emporter ces deux philodendrons en pots pour 50 euros le lot ?