blague anglais

La transfusion écossaise

Un milliardaire anglais est atteint d’une maladie rare : seule la transfusion du sang d’un homme qui a exactement le même que lui, peut le sauver.

On en trouve un. C’est un Écossais. Il accepte. Le milliardaire lui envoie immédiatement un chèque de cent mille livres. La transfusion est effectuée. L’Anglais est sauvé.

Cinq ans plus tard, rechute. On va retrouver l’Écossais. Il accepte. L’Anglais lui envoie un chèque de cent livres. L’Écossais lui téléphone :
– Merci de votre chèque mais pourquoi cent livres ? La dernière fois, vous m’avez envoyé cent mille livres.

L’Anglais :
– Oui, en ce temps-là, je n’avais pas de sang écossais dans les veines.

La blague de la protection anglaise

Deux explorateurs, un Français et un Anglais, sont capturés par une tribu en pleine jungle. Le chef leur déclare, furieux :
– Vous avez pénétré dans un territoire sacré, la punition, c’est cent coups de bâton pour chacun, mais ajoute-t- il magnanime, vous avez la possibilité de vous protéger le dos avec un objet de votre choix. Qui commence ?

L’Anglais s’avance, le torse bombé :
– Moi, et sans protection, je vais vous montrer ce que c’est qu’un Anglais !
Imperturbable, l’Anglais encaisse sans broncher ses cent coups de bâton.

Le chef de la tribu demande alors au Français s’il désire une protection à mettre sur son dos.
– Oui, répond le Français, mettez-moi l’Anglais, s’il vous plait !

Traduire un peu

Un Anglais écoute une conversation et demande :
– Que veut dire « parloter » ?
– C’est parler un peu.

Plus tard, l’Anglais redemande :
– Que veut dire « toussoter » ?
– C’est tousser un peu.

L’Anglais comprend enfin :
– Ah oui ! J’ai compris ! Parloter, c’est parler un peu, toussoter, c’est tousser un peu.

Deux heures plus tard, il prend le train avec de gros bagages et on l’entend dire à un voyageur :
– Pardon, monsieur, ne pourriez- vous pas vous reculotter ?

Coulage professionnel

Au large des côtes, un cuirassé anglais vient d’éperonner le navire amiral de la flotte. Le commandant est sans illusion sur les suites de l’affaire. Il sait que cette faute lui vaudra le conseil de guerre. Le navire amiral heurté à l’avant est en train de couler, et par signaux l’amiral fait transmettre cette question au commandant :
– Et maintenant, que comptez- vous faire ?

Et une réponse arrive par signaux :
– Me lancer dans l’agriculture.